lundi 28 juin 2010
La Tunisie n’a pas besoin de polémiques mondaines
Le mouvement historique n'est pas par soi porteur d'une alternative au dysfonctionnement de l'ordre libéral établi, mais d'idées et d'expériences diverses. Les mouvements sociaux de notre époque paraissent illustrer ce double fait : ils mettent des questions en débat, posent des exigences, font éventuellement surgir idées et pratiques nouvelles qui appellent réflexions et analyses, à la fois critiques et prospectives. Autrement dit, le mouvement historique n'est pas réductible au mouvement réel censé abolir l'état de chose existant, premièrement parce qu'il n'y a pas une seule façon de transformer le réel existant, deuxièmement parce qu'il n'est pas d'action humaine sans représentation, et d'action historique sans projet, même si les effets excèdent le projet. Là encore, le champ de travail est immense. On pourrait multiplier ce type d'exemples : tous concourent à souligner l'urgence et l'ampleur des problèmes auxquels les intellectuels peuvent apporter une contribution critique. Tâche difficile, mais plus enrichissante que les polémiques narcissiques mondaines. Cet effort est associé aux luttes pour la démocratie. Contre les visées réductrices, utilitaristes ou élitistes, les intellectuels ont la responsabilité de soutenir l'esprit critique, les valeurs de liberté et de justice : liberté de création et de recherche, pluralisme et confrontation, luttes contre l'affairisme, qui vont de pair avec la lutte pour faire reculer toutes les formes de marginalisation et d'exclusion nées des inégalités sociales.
jeudi 24 juin 2010
La Tunisie, une et indivisible
Amplement satisfaisante, en tous points répondant à nos besoins et chaque jour encore plus conquérante, depuis vingt-deux ans, notre démocratie n’a cessé de renforcer ses adhésions, d’étendre ses unanimités, d’explorer les nouveaux terrains de son enrichissement et de sa consolidation, et donc de réussir là où d’autres n’ont connu que réussites modestes ou retours en arrière.
Pour nous, notre démocratie est irréversible et elle progresse. Elle est sûre de ses choix, parce qu’elle les a mûrement réfléchis, parce qu’elle les a confectionnés de ses propres et de sa propre intelligence, et qu’elle les a soumis aux consultations les plus larges.
Au tout début de son parcours, l’on se souvient du 7 novembre 1987, il y avait la générosité du Salut qui épargna à notre pays la dérive totale, redonna à notre peuple confiance en lui-même et fierté, et remit l’ordre dans nos affaires. Les errements, les improvisations, les retards et l’arbitraire ont été écartés, pour faire place au Changement, aux réformes, à la modernisation, à l’ouverture, etc.
Les priorités, les lignes directrices claires et précises, les programmes riches, et les plans bien définis ont été tracés et mis à exécution. L’ordre a également été associé à la discipline qui, en accordant un respect total à nos droits, nous a appris à assumer nos devoirs. Notre nation a scellé le Pacte de ses retrouvailles, de son entente et de ses fermes résolutions.
Avec Ben Ali et le RCD, une fois le sauvetage de notre pays assuré, nous avons décidé de travailler, de persévérer, de viser l’excellence, de placer très haut la barre de nos ambitions et, en rangs serrés, nous sommes déterminés à relever les défis, tous les défis.
Notre démocratie, c’est tout cela à la fois et d’autres constantes humanistes et d’autres générosités en plus, d’autres détails subtils qui, ne laissant rien au hasard, ont pris les plus grands soins de garantir notre indivisibilité. C’est autour du partage équitable des fruits de notre émergence, de notre foi en nous-mêmes et autour de notre solidarité que s’est édifiée notre unanimité.
La majorité que le Changement a su mobiliser pour la réalisation de ses projets, grands et moins grands, a gagné tous les terrains et dissipé toutes les incertitudes.
L’Ere nouvelle s’est ainsi construite sur les bases saines de ce qui nous unit, de ce qui nous rassemble autour de l’obligatoire défense de l’indépendance, de la souveraineté et de l’invulnérabilité de la Tunisie.
Le reste ne serait donc plus qu’une affaire de différences minimes d’appréciation, un aspect mince qui sépare simplement nos sensibilités, mais qui n’affecte en rien la bonne marche des grandes œuvres de notre développement et nos ascensions. Car, sur l’essentiel et sur ses plus infimes détails, nous nous sommes accordés et continuerons d’accorder notre confiance entière au Changement.
La démocratie «généreuse» de Ben Ali a fait voler en éclats les clivages gauche/droite, conservatisme/progressisme, urbanité/ruralité, les régionalismes, les chauvinismes, les conflits opposant les générations et les genres. Elle a tissé les mailles serrées de notre concorde, balayé les confusions et nous a permis d’investir le plus clair de notre intelligence, de nos efforts et de nos énergies à rattraper les retards sur le peloton de tête des nations du monde, à construire nos plus beaux rêves, à prendre même de l’avance sur les autres, à bien nous prémunir contre les aléas et les fluctuations du contexte mondial, à nous préparer à jouer les premiers rôles sur la scène internationale et à tirer les meilleurs profits de la mondialisation.
C’est ce sens-là que nous accordons à nos élections: à chaque scrutin, sereinement et animé de la plus grande certitude, l’électeur sait pertinemment qu’il se prononce sur tous ces choix-là et que sa voix porte, directement et indirectement, sur ces grands dossiers.
Un bulletin de vote glissé dans l’urne dans une localité de quelques dizaines de milliers d’habitants, au nord, au sud, à l’est ou à l’ouest du territoire national, pèse de tous ses poids: il est un vote utile car il choisit librement le meilleur candidat qui, assisté d’une équipe municipale plurielle, devra répondre aux attentes de tous les électeurs de sa circonscription, porter la voix de leurs préoccupations et agir pour que sa ville aussi s’arrime à la locomotive du Changement.
Pour nous, notre démocratie est irréversible et elle progresse. Elle est sûre de ses choix, parce qu’elle les a mûrement réfléchis, parce qu’elle les a confectionnés de ses propres et de sa propre intelligence, et qu’elle les a soumis aux consultations les plus larges.
Au tout début de son parcours, l’on se souvient du 7 novembre 1987, il y avait la générosité du Salut qui épargna à notre pays la dérive totale, redonna à notre peuple confiance en lui-même et fierté, et remit l’ordre dans nos affaires. Les errements, les improvisations, les retards et l’arbitraire ont été écartés, pour faire place au Changement, aux réformes, à la modernisation, à l’ouverture, etc.
Les priorités, les lignes directrices claires et précises, les programmes riches, et les plans bien définis ont été tracés et mis à exécution. L’ordre a également été associé à la discipline qui, en accordant un respect total à nos droits, nous a appris à assumer nos devoirs. Notre nation a scellé le Pacte de ses retrouvailles, de son entente et de ses fermes résolutions.
Avec Ben Ali et le RCD, une fois le sauvetage de notre pays assuré, nous avons décidé de travailler, de persévérer, de viser l’excellence, de placer très haut la barre de nos ambitions et, en rangs serrés, nous sommes déterminés à relever les défis, tous les défis.
Notre démocratie, c’est tout cela à la fois et d’autres constantes humanistes et d’autres générosités en plus, d’autres détails subtils qui, ne laissant rien au hasard, ont pris les plus grands soins de garantir notre indivisibilité. C’est autour du partage équitable des fruits de notre émergence, de notre foi en nous-mêmes et autour de notre solidarité que s’est édifiée notre unanimité.
La majorité que le Changement a su mobiliser pour la réalisation de ses projets, grands et moins grands, a gagné tous les terrains et dissipé toutes les incertitudes.
L’Ere nouvelle s’est ainsi construite sur les bases saines de ce qui nous unit, de ce qui nous rassemble autour de l’obligatoire défense de l’indépendance, de la souveraineté et de l’invulnérabilité de la Tunisie.
Le reste ne serait donc plus qu’une affaire de différences minimes d’appréciation, un aspect mince qui sépare simplement nos sensibilités, mais qui n’affecte en rien la bonne marche des grandes œuvres de notre développement et nos ascensions. Car, sur l’essentiel et sur ses plus infimes détails, nous nous sommes accordés et continuerons d’accorder notre confiance entière au Changement.
La démocratie «généreuse» de Ben Ali a fait voler en éclats les clivages gauche/droite, conservatisme/progressisme, urbanité/ruralité, les régionalismes, les chauvinismes, les conflits opposant les générations et les genres. Elle a tissé les mailles serrées de notre concorde, balayé les confusions et nous a permis d’investir le plus clair de notre intelligence, de nos efforts et de nos énergies à rattraper les retards sur le peloton de tête des nations du monde, à construire nos plus beaux rêves, à prendre même de l’avance sur les autres, à bien nous prémunir contre les aléas et les fluctuations du contexte mondial, à nous préparer à jouer les premiers rôles sur la scène internationale et à tirer les meilleurs profits de la mondialisation.
C’est ce sens-là que nous accordons à nos élections: à chaque scrutin, sereinement et animé de la plus grande certitude, l’électeur sait pertinemment qu’il se prononce sur tous ces choix-là et que sa voix porte, directement et indirectement, sur ces grands dossiers.
Un bulletin de vote glissé dans l’urne dans une localité de quelques dizaines de milliers d’habitants, au nord, au sud, à l’est ou à l’ouest du territoire national, pèse de tous ses poids: il est un vote utile car il choisit librement le meilleur candidat qui, assisté d’une équipe municipale plurielle, devra répondre aux attentes de tous les électeurs de sa circonscription, porter la voix de leurs préoccupations et agir pour que sa ville aussi s’arrime à la locomotive du Changement.
lundi 14 juin 2010
Slim Bagga : De Ghannouchi à Maâroufi
Par Salem BADR
Ancien démarcheur de publicité pour le magazine tunisien “ Réalités ” (de 1984 à 1990, Slim Bagga a volontairement quitté son pays. Les raisons de ce départ – qui d’ailleurs n’était aucunement lié à la politique - demeurent jusqu’à ce jour une interrogation même pour ses proches. Au début, il a travaillé comme archiviste au siège du RCD (Rassemblement constitutionnel démocratique), parti au pouvoir en Tunisie, avant de passer à l’opposition dont il a abusé de sa “ générosité ” alors qu’il se proposait d’espionner dès son arrivée dans la capitale française. “ Il a été toujours louche, ce garçon ” s’accordent à dire quelques responsables des partis de l’opposition qui l’évitent malgré les efforts qu’il déploie pour les approcher proposant de les interviewer pour la publication pamphlétaire qu’il dirige à partir de Paris.
Après un parcours restreint, assez mouvementé dans ce domaine, il a fini par être adopté – après plusieurs tests où il a montré ses preuves- par un courant du mouvement islamiste Annahda, représentée par deux figures de proue sur la scène parisienne. Il s’agit de Habib Mokni et Reda Driss.
Pourtant cette adoption n’a été définitive qu’après l’aval de l’ancien patron de la sécurité de ce mouvement, Saïd Ferjani, résidant à Londres. Parmi les tests imposés à Slim Bagga : rencontrer publiquement des islamistes maghrébins, des pays du Moyen-Orient dont Abou Anass Al-Libi et l’Egyptien Yasser Al-Serri. Enfin pour boucler la boucle, accorder des interviews presque régulières au leader du mouvement Annahda Rached Ghannouchi ; et consacrer des pages entières à l’idéologue politique, Saleh Karkar.
Depuis, les islamistes tunisiens financent la publication “L’Audace” de Slim Bagga, qui par la suite, a réussi à s’introduire dans les milieux intégristes.
C’est lors de ses multiples navettes à Londres qu’il a connu Tarek Maâroufi dont il a pris fait et cause. Les dissidents de la Jama’a Islamia qui ont quitté l’Afghanistan il y a plus d’un an, affirment que Bagga roule pour le réseau tunisien d’Al Qaïda contre argent. Les partisans d’Annahda tentent de prouver le contraire, en montrant des photos de ce dernier en train de prier dans différentes mosquées de Paris et de Bruxelles.
Quoi qu’il en soit, Slim Bagga qui a mis sur pied une cellule de propagande formée de membres des d’ONG européennes, de journalistes indépendants, ne cesse de défendre la cause de Tarek Maâroufi, aujourd’hui derrière les barreaux en raison de son implication dans l’assassinat du commandant Messaoud, deux jours avant les attentats du 11 septembre.
Pour les enquêteurs belges, “Maâroufi est avec d’autres Islamistes tunisiens et libyens l’une des pièces maîtresses du réseau Oussama Ben Laden en Europe” ; et d’ajouter : c’est grâce à ce dernier, que les frères saoudiens Moutabakani – lieutenants de Ben Laden- ont pu échapper au piège qu’il leur avait été tendu à Anvers en juin 2001 et qu’ils ont fini par atteindre la Somalie.
Le divorce annoncé
Les aveux de Tarek Maaroufi du 29 novembre 2001, notamment après le compte rendu des écoutes téléphoniques, présenté par la police anti-terroriste italienne le compromettant dans l’assassinat du commandant Massaoud, Slim Bagga a commencé à prendre peu à peu ses distances envers ceux qu’ils appelait dans ses papiers “ mes amis ” ; c’est-à-dire Tarek Maâroufi et Walid Bennani, tous deux accusés et relaxés en janvier 2001 par la justice belge de l’assassinat du ministre socialiste André Cools.
De sources arabes spécialisées dans ce domaine de l’anti-terrorisme, on apprend que Slim Bagga – disant avoir infiltré la mouvance tunisienne d’Al Qaïda- a proposé d’aider les services d’un des pays du Golfe. Les contacts ont été pris par l’intermédiaire d’un ancien haut responsable maghrébin qui, à maintes reprises, a reporté son retour dans son pays à la dernière minute. Affirmation d’autant plus invérifiable que Slim Bagga est connu pour ses divagations et le brouillage des pistes chaque fois qu’il se sentait sur le point d’être lâché par ses alliés de circonstance.
À l’heure actuelle, le “journaliste, le militant” des droits de l’homme, l’ami des “terroristes” déplume certains tunisiens en exil, rackette astucieusement à la fois ses “garants” du mouvement Annahda en tendant la main à un homme d’affaires de l’extrême gauche tunisien.
En tout état de cause il faut signaler que le réseau de Ben Laden en Europe est le plus puissant logistiquement et aussi le plus dangereux.
Car il a ses ramifications notamment dans les milieux qui ne sont guère soupçonnés par les cellules anti-terroristes européennes tels : les ONG, les députés européens, le plus souvent infiltrés par des universitaires et aussi les petites structures liées à des Associations régionales des droits de l’homme, basées au Pays-bas, en Allemagne ou en Suède.
A cela s’ajoute une panoplie de journalistes indépendants comme par exemple, Slim Bagga qui a un jour dédié un des numéros de sa publication à Maâroufi, n’hésitant pas à se laisser prendre en photo avec lui.
Ancien démarcheur de publicité pour le magazine tunisien “ Réalités ” (de 1984 à 1990, Slim Bagga a volontairement quitté son pays. Les raisons de ce départ – qui d’ailleurs n’était aucunement lié à la politique - demeurent jusqu’à ce jour une interrogation même pour ses proches. Au début, il a travaillé comme archiviste au siège du RCD (Rassemblement constitutionnel démocratique), parti au pouvoir en Tunisie, avant de passer à l’opposition dont il a abusé de sa “ générosité ” alors qu’il se proposait d’espionner dès son arrivée dans la capitale française. “ Il a été toujours louche, ce garçon ” s’accordent à dire quelques responsables des partis de l’opposition qui l’évitent malgré les efforts qu’il déploie pour les approcher proposant de les interviewer pour la publication pamphlétaire qu’il dirige à partir de Paris.
Après un parcours restreint, assez mouvementé dans ce domaine, il a fini par être adopté – après plusieurs tests où il a montré ses preuves- par un courant du mouvement islamiste Annahda, représentée par deux figures de proue sur la scène parisienne. Il s’agit de Habib Mokni et Reda Driss.
Pourtant cette adoption n’a été définitive qu’après l’aval de l’ancien patron de la sécurité de ce mouvement, Saïd Ferjani, résidant à Londres. Parmi les tests imposés à Slim Bagga : rencontrer publiquement des islamistes maghrébins, des pays du Moyen-Orient dont Abou Anass Al-Libi et l’Egyptien Yasser Al-Serri. Enfin pour boucler la boucle, accorder des interviews presque régulières au leader du mouvement Annahda Rached Ghannouchi ; et consacrer des pages entières à l’idéologue politique, Saleh Karkar.
Depuis, les islamistes tunisiens financent la publication “L’Audace” de Slim Bagga, qui par la suite, a réussi à s’introduire dans les milieux intégristes.
C’est lors de ses multiples navettes à Londres qu’il a connu Tarek Maâroufi dont il a pris fait et cause. Les dissidents de la Jama’a Islamia qui ont quitté l’Afghanistan il y a plus d’un an, affirment que Bagga roule pour le réseau tunisien d’Al Qaïda contre argent. Les partisans d’Annahda tentent de prouver le contraire, en montrant des photos de ce dernier en train de prier dans différentes mosquées de Paris et de Bruxelles.
Quoi qu’il en soit, Slim Bagga qui a mis sur pied une cellule de propagande formée de membres des d’ONG européennes, de journalistes indépendants, ne cesse de défendre la cause de Tarek Maâroufi, aujourd’hui derrière les barreaux en raison de son implication dans l’assassinat du commandant Messaoud, deux jours avant les attentats du 11 septembre.
Pour les enquêteurs belges, “Maâroufi est avec d’autres Islamistes tunisiens et libyens l’une des pièces maîtresses du réseau Oussama Ben Laden en Europe” ; et d’ajouter : c’est grâce à ce dernier, que les frères saoudiens Moutabakani – lieutenants de Ben Laden- ont pu échapper au piège qu’il leur avait été tendu à Anvers en juin 2001 et qu’ils ont fini par atteindre la Somalie.
Le divorce annoncé
Les aveux de Tarek Maaroufi du 29 novembre 2001, notamment après le compte rendu des écoutes téléphoniques, présenté par la police anti-terroriste italienne le compromettant dans l’assassinat du commandant Massaoud, Slim Bagga a commencé à prendre peu à peu ses distances envers ceux qu’ils appelait dans ses papiers “ mes amis ” ; c’est-à-dire Tarek Maâroufi et Walid Bennani, tous deux accusés et relaxés en janvier 2001 par la justice belge de l’assassinat du ministre socialiste André Cools.
De sources arabes spécialisées dans ce domaine de l’anti-terrorisme, on apprend que Slim Bagga – disant avoir infiltré la mouvance tunisienne d’Al Qaïda- a proposé d’aider les services d’un des pays du Golfe. Les contacts ont été pris par l’intermédiaire d’un ancien haut responsable maghrébin qui, à maintes reprises, a reporté son retour dans son pays à la dernière minute. Affirmation d’autant plus invérifiable que Slim Bagga est connu pour ses divagations et le brouillage des pistes chaque fois qu’il se sentait sur le point d’être lâché par ses alliés de circonstance.
À l’heure actuelle, le “journaliste, le militant” des droits de l’homme, l’ami des “terroristes” déplume certains tunisiens en exil, rackette astucieusement à la fois ses “garants” du mouvement Annahda en tendant la main à un homme d’affaires de l’extrême gauche tunisien.
En tout état de cause il faut signaler que le réseau de Ben Laden en Europe est le plus puissant logistiquement et aussi le plus dangereux.
Car il a ses ramifications notamment dans les milieux qui ne sont guère soupçonnés par les cellules anti-terroristes européennes tels : les ONG, les députés européens, le plus souvent infiltrés par des universitaires et aussi les petites structures liées à des Associations régionales des droits de l’homme, basées au Pays-bas, en Allemagne ou en Suède.
A cela s’ajoute une panoplie de journalistes indépendants comme par exemple, Slim Bagga qui a un jour dédié un des numéros de sa publication à Maâroufi, n’hésitant pas à se laisser prendre en photo avec lui.
Slim Bagga et Fawzi Mahbouli…Deux criminels avérés
Dans des témoignages publiés par Sahbi Amri et dans des articles publiés par la Gazette du Maroc, par des journaux électroniques algériens et suisses , j’étais encore une fois surpris par la face cachée de Slim Bagga présenté par tous les auteurs et à juste titre d’ailleurs comme un homme pervers, schizophrène, qui a travaillé avec la Nahda et contre la Nahda, avec la Tunisie et contre la Tunisie, avec ses amis et contre ses amis…Les articles en questions, parlent d’un énergumène sans scrupule, opportuniste et surtout financièrement insatiable. Sahbi Amri figure en tête de liste de ceux qui ont été trahi par Slim Bagga. Il croyait peut-être qu’il disait vrai. Mais sa déception fut grande quand il a réalisé à ses dépend que slim Bagga n’était en fait qu’un manipulateur, un usurpateur d’identité, un agent de renseignement qui travaille actuellement pour le compte de Kouchner ce faux ministre impliqué dans le génocide du Rwanda ainsi que pour le compte du Mossad qui l’engraisse largement. C’est pourquoi d’ailleurs Slim Bagga a complètement disparu du Net durant toutes les péripéties qui ont entouré le Raid israélien sur la flottille de la liberté à Gaza. Dans un article antérieur, la Gazette du Maroc a déjà publié un scoop sur l’implication de Slim Bagga dans l’assassinat de Massoud qui représentait l’espoir d’un Afghanistan libre, moderne et prospère. Cet article a révélé l’étroite collaboration de Slim Bagga avec le chef de la défunte Nahdha de Rached Ghannouchi installé aujourd’hui à Londres ou il profite de l’argent de la Zaket selon les révélations de Sahbi Amri qui le connaît si bien. La reprise de cet article par des facebookiens leur a été fatale. Slim Bagga a ordonné à sa milice de faire disparaître leur profil du net. C’est la démocratie, version Bagga. Pas de vérité, pas de dialogue, pas de parole…que de l’intox, que des obscénités...Autres révélation de Sahbi Amri : L’arrestation et l’emprisonnement en Belgique de Tarak Maaroufi, un commerçant tunisien résidant à Bruxelles, impliqué dans l’affaire de l’assassinat de Massoud a été « soigneusement » orchestrée par Slim Bagga pour se dérober d’un dû qui s’élève à 360000 FF, une somme versée par Maaroufi à Slim Bagga pour l’aider à s’installer en France. Sahbi Amri évoque dans ses témoignages un certain Faouzi Mahbouli. Ce fraichement débarqué sur la scène médiatique virtuelle, n’est que l’ombre de Slim Bagga qui est en fait son recruteur selon les affirmations de Sahbi Amri. Slim Bagga a encore une fois profité de l’immaturité notamment politique de ce Faouzi Mahbouli pour l’entrainer dans sa valse diabolique. Faouzi Mahbouli a subi une formation intensive pendant les séances nocturne de beuverie Baggienne, dans les domaines de la manipulation et de l’intox avant de se lancer sur facebook sous les ordres de son minable « maître chanteur ». Cette alliance qui repose sur l’opportunisme mutuel ne durera pas longtemps comme toutes les alliances de ce genre.
Ces articles qui existent sur le net viennent corroborer toutes les vérités sur l’implication de ces individus dans des nébuleuses dont l’odeur est nauséabonde. Cependant, une question mérite d’être posée. Que représente la Tunisie pour cette nébuleuse? Un prétexte, une matière première, un paravent pour gagner encore et encore de l’argent. Vendre son pays aux autres, entacher l’image de son pays et de tenter même vainement à lui emboiter le pas du développement et du progrès en diffusant de l’intox et en usant de la manipulation est l’œuvre de criminels avérés.
Voici la confirmation du niveau ordurier de Slim Bagga dans une discussion à sens unique: C'est un Chalaco
Par sahbi Amri
Il n'a que la grande gueule d'un voyou déguisé en faux-jour....n'a.....liste. Slim Bagga refuse de rendre public son droit de réponse aux allégations formelles que j'ai porté à son encontre pour dévoiler le masque d'un clochard transformé en démarcheur de misères des autres pour satisfaire sa soif chronique à la "Dabbouza".Il se dit opposant au régime politique en Tunisie. Mais, au fond, il ne s'agit que d'un opportuniste de très bas niveau. C'est un lèche-gamelle. Encore sous le choc de ma publication du 4.10.2009 " Ma part de vérité" au facebook, il tente vainement de m'intimider par un langage ordurier dont il a l'habitude d'utiliser. L'accusant de mouchard, d'escroc, de magouilleur qui se cache derrière des cercles policiers de renseignements généraux, je ne trouve aucun qualificatif supplémentaire pour présenter un type qui a raté sa vocation en Tunisie et sa vie d'émigré en SDF. S'il se trouve actuellement sous la tutelle de Mohamed El Boussairi Bouebdelli en pension complète et sous la protection d'un secteur de la DGSE en France.. Souffrant d'une mégalomanie d'un éthylodépendant désespéré, son marasme intellectuel est traduit dans la discussion suivante dont je détiens une copie pour toute fin utile.
PS. Par respect à mes amis j’ai supprimé ce passage dont le contenu chargé d’obscénités peut choquer les jeunes internautes.
samedi 12 juin 2010
Lettre ouverte de Sahbi Amri à Slim Bagga
Surpris par l’acharnement ignoble de « Slim Bagga » à une discussion au facebook, la coupure instantanée du réseau internet ne m’a offert l’opportunité de le placer à sa juste valeur et de lui mettre les choses au clair. De ce fait, j’ai tenu à lui rendre publique cette lettre ouverte afin que les Tunisiens puissent découvrir la face cachée d’un personnage ambigu devenu accidentellement médiatique dans le domaine de la puanteur intellectuelle. Au fait, ce n’est qu’un spéculateur qui use de ses capacités de culture de trottoir pour tirer profit de la misère des autres. Ce n’est pas étonnant de la part de quelqu’un qui na jamais su se respecter pour être un perdu dans la vie.
Ma part de vérité
Si tu te crois une référence de l’honnêteté et de la dignité eh bien, détrompe-toi. Mais pour ce qui est amitié, tu n'as jamais été mon ami. Tu as couru à notre première rencontre à Paris en 2002 pour que je t’accorde une déclaration de presse à ton ex-journal « l’Audace ».
Tu n'es qu'un marchand de «zebla» et tu y resteras.
Tu n’as aucune morale de militantisme pour la prospérité de la Tunisie. Le Dinar ne t’enchante plus. C’est l’Euro qui te fait perdre les pédales sur les colonnes des mercenaires.
Rappelle-toi qui était au bout du fil en Mars 2006 quand on était assis ensemble au Café à la Gare du Nord à Paris.
Tu te donnes de l’importance virtuelle en ayant l’ultime conviction que tu ne vaux absolument rien en réalité. Tu es un type raté. Tu as raté ta vocation en Tunisie et tu as raté ta vie à l’étranger. Tu me fais pitié. Tu as choisi le chemin de la délinquance par désespoir de toute issue de sauvetage.
Pourquoi tu as omis d’étaler ton parcours de commis du RCD à Paris avant de faire fonction de faux-opposant ? Pourquoi tu as toujours fait passer l’éponge sur tes relations suspectes de « sabbeb » à la Direction de la Sécurité de l’Etat « DGSE » en France ?
Tu as fait passer injustement le commerçant Tunisien en Belgique « Tarek Mâaroufi » derrière les barreaux à Bruxelles pour plus d’une décennie pour échapper au remboursement de ses 32000 Euros qu’il t’a passés pour te soutenir financièrement. Tu l’as accusé injustement de terrorisme et de collecte d’argent pour « Al-Qaida ». Tu n’as aucun sens humain. Tu es ingrat. Tu es une poubelle. Tu ne peux fréquenter que ton genre qui devient de plus en plus méfiant de toi. Tu ne représentes que l’immoralité en toutes ses formes puisque tu es devenu un spécialiste des coups bas et même trop bas.
Tu creuseras ta tombe le jour de la libération de « Tarek Mâaroufi ».
Tu te souviendras bien de ce que je viens de t’annoncer en public.
Et, tu pourras aller remettre des rapports malveillants, à tes maitres de la « DGSE » en France me qualifiant de terroriste et de danger à la sécurité internationale comme l’ont déjà fait tes similaires locaux de la société civile à l’ex-ambassadeur des USA en Tunisie pour me compliquer l’obtention d’un visa de voyage. C’est mesquin.
Par ailleurs, tu as toujours escroqué les abonnés annuels de ton journal « l’Audace » qui, après t’avoir payé intégralement ne reçoivent jamais le moindre numéro du dit-journal.
Tu n’escroquais que ton entourage amical qui t’a vomi actuellement pour rester en solitaire.
L’alcool ne t’a rien laissé. Ni argent. Ni Santé. Ni honneur.
Dommage, tu es cuit. Ou plutôt, tu t’es fait cuire par ignorance et par naïveté.
Tu as cru et tu crois toujours à la descendance des anciens colons de la Tunisie pour qu’ils te sauvent de la merde dont tu t’es fait noyer.
Tu t’es comporté en Super-man de carton en Mars 2006 quand j’étais venu à Paris avec l’émissaire « Mohamed Ferjaoui » dit « Hamadi ».
Tu as demandé un appartement luxueux à Saint Michel au cœur de Paris, une bourse pour les études de ta fille, un salaire fixe pour ton épouse de 4000 Euros par mois et un autre salaire pour toi de 7000 Euros par mois avec un supplément de pourcentage sur les ventes de « l’audace » pour céder d’abord le poste de rédacteur en chef à un journaliste Français connu. La gestion du journal était prévue pour « Hamadi » and Co.
En contre partie, le journal « l’Audace » serait vendu dans les institutions publiques en Tunisie et en ambulatoire dans tout le pays sans aucune mention diffamatoire.
Tu étais vraiment d’accord et enthousiasmé par ce compromis qui était la chance de ta vie. En l’occurrence, tu n’as jamais hésité à tendre la main à « Hamadi » pour qu’il te remette à chaque rencontre de chaque jour entre 200 et 500 Euros après qu’il te paye le diner quotidien bien alcoolisé……Tu rentrais chez-toi ivre-mort.
Mais, ce dont tu n’es pas au courant : Ton offre était tellement alléchante où toutes les parties intervenantes se sont disputées les actions et les parts de bénéfices attendus…
« Hamadi » n’a pu réussir l’orchestration de la réussite de ce projet.
Donc, c’est dans l’eau !
Dommage pour « Bagga » la puce dont la valeur réelle ne dépasse les quelques centimes. Mais, il rêve de l’octroi de centaines de milliers d’Euros d’une façon gratis.
Rappelle-toi combien de fois tu as adressé « Hamadi » à ton domicile parental à la Rue de Marseille à Tunis pour qu’il passe un peu d’argent à ton père que tu as abandonné à l’inertie.
Est-ce que tu l’as remboursé ?
« Hamadi » n’a jamais été une association charitaire.
Mais comme le délai de la concrétisation du compromis a tant duré pour annoncer son avortement à notre retour de Paris, tu as couru à ton journal « l’Audace » pour publier un démenti et une critique de la visite de « Hamadi » à Paris.
Et, c’est ton maitre qui t’a fourni les fins fonds des secrets personnels de cet « émissaire » pour couper la route au retour des exilés.
Ne me dis surtout pas que tu es un superman des renseignements généraux.
Bon ! Bref !
En langage direct à « Slim Bagga » : Si tu crois que j'ai des comptes à te rendre en ce qui concerne mes activités personnelles, eh bien là, encore une fois de plus, détrompe-toi. Pour hausser le ton et faire le «Gâabout» du stylo, eh bien là aussi, rappelle-toi que tu n’as aucun diplôme universitaire ni de journaliste ni de faisant fonction de journaliste et à priori, tu as peut-être un certificat de rue ou d’impasse et pas autre chose.
Tu n’es qu’un pauvre monsieur « Dabbouza ». Moi, j'ai payé une facture de malheurs, d’argent et de santé lorsque tu grignotais les miettes de Rached Ghanouchi and Co. entre Londres et Paris. Et si tu parles de dégâts que j’ai causé à l’opposition, eh bien, change tes lunettes et rince-toi la cervelle pour mieux voir et comprendre. Je suis libre de mes agissements et je n’ai pas à me justifier auprès de quiconque. Je me suis retiré tout seul en singulier. Je n’ai pas drainé d’autres personnes sur mon chemin. Mais, je sais que j’ai laissé une grande faille irremplaçable. Je n’ai lésé personne, mais, je ne me laisse pas faire. J’ai cru que cette opposition et cette société civile que je fréquentais et je soutenais, étaient faites d’hommes intègres, crédibles et transparents. Mais, au fait ce n’était que du mensonge et de la blague. Ces gens-là ont besoin de domestiques et pas d’opposants activistes d’un certain niveau intellectuel, de lucidité et de courage. Ces spéculateurs ont besoin de marchandises solubles sur les tribunes qui rapportent des Euros. Moi, je ne fais pas partie de cette variété.
Tu ne fais rien d'intéressant sauf d'être un clown enragé au milieu d'une foule qui te soutient financièrement. Et si tu me parles de dégâts que j'ai causés à la société civile, eh bien tu te trompes encore d'adresse. Contrairement à toi, moi, je n'ai jamais remis le mot de passe de mon adresse e-mail à une antenne sécuritaire ni à l’étranger ni en Tunisie pour piéger mes correspondants et mes amis. Si tu joues au malin avec moi, je te conseille de ne pas jouer au saint, Enness Tâaref Enness et en plus Waktech Nwalliou Chorfa…je te laisse le soin de continuer ce proverbe Tunisien bien signifiant pour ton misérable cas.
Dr. Sahbi Amri
Ma part de vérité
Si tu te crois une référence de l’honnêteté et de la dignité eh bien, détrompe-toi. Mais pour ce qui est amitié, tu n'as jamais été mon ami. Tu as couru à notre première rencontre à Paris en 2002 pour que je t’accorde une déclaration de presse à ton ex-journal « l’Audace ».
Tu n'es qu'un marchand de «zebla» et tu y resteras.
Tu n’as aucune morale de militantisme pour la prospérité de la Tunisie. Le Dinar ne t’enchante plus. C’est l’Euro qui te fait perdre les pédales sur les colonnes des mercenaires.
Rappelle-toi qui était au bout du fil en Mars 2006 quand on était assis ensemble au Café à la Gare du Nord à Paris.
Tu te donnes de l’importance virtuelle en ayant l’ultime conviction que tu ne vaux absolument rien en réalité. Tu es un type raté. Tu as raté ta vocation en Tunisie et tu as raté ta vie à l’étranger. Tu me fais pitié. Tu as choisi le chemin de la délinquance par désespoir de toute issue de sauvetage.
Pourquoi tu as omis d’étaler ton parcours de commis du RCD à Paris avant de faire fonction de faux-opposant ? Pourquoi tu as toujours fait passer l’éponge sur tes relations suspectes de « sabbeb » à la Direction de la Sécurité de l’Etat « DGSE » en France ?
Tu as fait passer injustement le commerçant Tunisien en Belgique « Tarek Mâaroufi » derrière les barreaux à Bruxelles pour plus d’une décennie pour échapper au remboursement de ses 32000 Euros qu’il t’a passés pour te soutenir financièrement. Tu l’as accusé injustement de terrorisme et de collecte d’argent pour « Al-Qaida ». Tu n’as aucun sens humain. Tu es ingrat. Tu es une poubelle. Tu ne peux fréquenter que ton genre qui devient de plus en plus méfiant de toi. Tu ne représentes que l’immoralité en toutes ses formes puisque tu es devenu un spécialiste des coups bas et même trop bas.
Tu creuseras ta tombe le jour de la libération de « Tarek Mâaroufi ».
Tu te souviendras bien de ce que je viens de t’annoncer en public.
Et, tu pourras aller remettre des rapports malveillants, à tes maitres de la « DGSE » en France me qualifiant de terroriste et de danger à la sécurité internationale comme l’ont déjà fait tes similaires locaux de la société civile à l’ex-ambassadeur des USA en Tunisie pour me compliquer l’obtention d’un visa de voyage. C’est mesquin.
Par ailleurs, tu as toujours escroqué les abonnés annuels de ton journal « l’Audace » qui, après t’avoir payé intégralement ne reçoivent jamais le moindre numéro du dit-journal.
Tu n’escroquais que ton entourage amical qui t’a vomi actuellement pour rester en solitaire.
L’alcool ne t’a rien laissé. Ni argent. Ni Santé. Ni honneur.
Dommage, tu es cuit. Ou plutôt, tu t’es fait cuire par ignorance et par naïveté.
Tu as cru et tu crois toujours à la descendance des anciens colons de la Tunisie pour qu’ils te sauvent de la merde dont tu t’es fait noyer.
Tu t’es comporté en Super-man de carton en Mars 2006 quand j’étais venu à Paris avec l’émissaire « Mohamed Ferjaoui » dit « Hamadi ».
Tu as demandé un appartement luxueux à Saint Michel au cœur de Paris, une bourse pour les études de ta fille, un salaire fixe pour ton épouse de 4000 Euros par mois et un autre salaire pour toi de 7000 Euros par mois avec un supplément de pourcentage sur les ventes de « l’audace » pour céder d’abord le poste de rédacteur en chef à un journaliste Français connu. La gestion du journal était prévue pour « Hamadi » and Co.
En contre partie, le journal « l’Audace » serait vendu dans les institutions publiques en Tunisie et en ambulatoire dans tout le pays sans aucune mention diffamatoire.
Tu étais vraiment d’accord et enthousiasmé par ce compromis qui était la chance de ta vie. En l’occurrence, tu n’as jamais hésité à tendre la main à « Hamadi » pour qu’il te remette à chaque rencontre de chaque jour entre 200 et 500 Euros après qu’il te paye le diner quotidien bien alcoolisé……Tu rentrais chez-toi ivre-mort.
Mais, ce dont tu n’es pas au courant : Ton offre était tellement alléchante où toutes les parties intervenantes se sont disputées les actions et les parts de bénéfices attendus…
« Hamadi » n’a pu réussir l’orchestration de la réussite de ce projet.
Donc, c’est dans l’eau !
Dommage pour « Bagga » la puce dont la valeur réelle ne dépasse les quelques centimes. Mais, il rêve de l’octroi de centaines de milliers d’Euros d’une façon gratis.
Rappelle-toi combien de fois tu as adressé « Hamadi » à ton domicile parental à la Rue de Marseille à Tunis pour qu’il passe un peu d’argent à ton père que tu as abandonné à l’inertie.
Est-ce que tu l’as remboursé ?
« Hamadi » n’a jamais été une association charitaire.
Mais comme le délai de la concrétisation du compromis a tant duré pour annoncer son avortement à notre retour de Paris, tu as couru à ton journal « l’Audace » pour publier un démenti et une critique de la visite de « Hamadi » à Paris.
Et, c’est ton maitre qui t’a fourni les fins fonds des secrets personnels de cet « émissaire » pour couper la route au retour des exilés.
Ne me dis surtout pas que tu es un superman des renseignements généraux.
Bon ! Bref !
En langage direct à « Slim Bagga » : Si tu crois que j'ai des comptes à te rendre en ce qui concerne mes activités personnelles, eh bien là, encore une fois de plus, détrompe-toi. Pour hausser le ton et faire le «Gâabout» du stylo, eh bien là aussi, rappelle-toi que tu n’as aucun diplôme universitaire ni de journaliste ni de faisant fonction de journaliste et à priori, tu as peut-être un certificat de rue ou d’impasse et pas autre chose.
Tu n’es qu’un pauvre monsieur « Dabbouza ». Moi, j'ai payé une facture de malheurs, d’argent et de santé lorsque tu grignotais les miettes de Rached Ghanouchi and Co. entre Londres et Paris. Et si tu parles de dégâts que j’ai causé à l’opposition, eh bien, change tes lunettes et rince-toi la cervelle pour mieux voir et comprendre. Je suis libre de mes agissements et je n’ai pas à me justifier auprès de quiconque. Je me suis retiré tout seul en singulier. Je n’ai pas drainé d’autres personnes sur mon chemin. Mais, je sais que j’ai laissé une grande faille irremplaçable. Je n’ai lésé personne, mais, je ne me laisse pas faire. J’ai cru que cette opposition et cette société civile que je fréquentais et je soutenais, étaient faites d’hommes intègres, crédibles et transparents. Mais, au fait ce n’était que du mensonge et de la blague. Ces gens-là ont besoin de domestiques et pas d’opposants activistes d’un certain niveau intellectuel, de lucidité et de courage. Ces spéculateurs ont besoin de marchandises solubles sur les tribunes qui rapportent des Euros. Moi, je ne fais pas partie de cette variété.
Tu ne fais rien d'intéressant sauf d'être un clown enragé au milieu d'une foule qui te soutient financièrement. Et si tu me parles de dégâts que j'ai causés à la société civile, eh bien tu te trompes encore d'adresse. Contrairement à toi, moi, je n'ai jamais remis le mot de passe de mon adresse e-mail à une antenne sécuritaire ni à l’étranger ni en Tunisie pour piéger mes correspondants et mes amis. Si tu joues au malin avec moi, je te conseille de ne pas jouer au saint, Enness Tâaref Enness et en plus Waktech Nwalliou Chorfa…je te laisse le soin de continuer ce proverbe Tunisien bien signifiant pour ton misérable cas.
Dr. Sahbi Amri
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