Surpris par l’acharnement ignoble de « Slim Bagga » à une discussion au facebook, la coupure instantanée du réseau internet ne m’a offert l’opportunité de le placer à sa juste valeur et de lui mettre les choses au clair. De ce fait, j’ai tenu à lui rendre publique cette lettre ouverte afin que les Tunisiens puissent découvrir la face cachée d’un personnage ambigu devenu accidentellement médiatique dans le domaine de la puanteur intellectuelle. Au fait, ce n’est qu’un spéculateur qui use de ses capacités de culture de trottoir pour tirer profit de la misère des autres. Ce n’est pas étonnant de la part de quelqu’un qui na jamais su se respecter pour être un perdu dans la vie.
Ma part de vérité
Si tu te crois une référence de l’honnêteté et de la dignité eh bien, détrompe-toi. Mais pour ce qui est amitié, tu n'as jamais été mon ami. Tu as couru à notre première rencontre à Paris en 2002 pour que je t’accorde une déclaration de presse à ton ex-journal « l’Audace ».
Tu n'es qu'un marchand de «zebla» et tu y resteras.
Tu n’as aucune morale de militantisme pour la prospérité de la Tunisie. Le Dinar ne t’enchante plus. C’est l’Euro qui te fait perdre les pédales sur les colonnes des mercenaires.
Rappelle-toi qui était au bout du fil en Mars 2006 quand on était assis ensemble au Café à la Gare du Nord à Paris.
Tu te donnes de l’importance virtuelle en ayant l’ultime conviction que tu ne vaux absolument rien en réalité. Tu es un type raté. Tu as raté ta vocation en Tunisie et tu as raté ta vie à l’étranger. Tu me fais pitié. Tu as choisi le chemin de la délinquance par désespoir de toute issue de sauvetage.
Pourquoi tu as omis d’étaler ton parcours de commis du RCD à Paris avant de faire fonction de faux-opposant ? Pourquoi tu as toujours fait passer l’éponge sur tes relations suspectes de « sabbeb » à la Direction de la Sécurité de l’Etat « DGSE » en France ?
Tu as fait passer injustement le commerçant Tunisien en Belgique « Tarek Mâaroufi » derrière les barreaux à Bruxelles pour plus d’une décennie pour échapper au remboursement de ses 32000 Euros qu’il t’a passés pour te soutenir financièrement. Tu l’as accusé injustement de terrorisme et de collecte d’argent pour « Al-Qaida ». Tu n’as aucun sens humain. Tu es ingrat. Tu es une poubelle. Tu ne peux fréquenter que ton genre qui devient de plus en plus méfiant de toi. Tu ne représentes que l’immoralité en toutes ses formes puisque tu es devenu un spécialiste des coups bas et même trop bas.
Tu creuseras ta tombe le jour de la libération de « Tarek Mâaroufi ».
Tu te souviendras bien de ce que je viens de t’annoncer en public.
Et, tu pourras aller remettre des rapports malveillants, à tes maitres de la « DGSE » en France me qualifiant de terroriste et de danger à la sécurité internationale comme l’ont déjà fait tes similaires locaux de la société civile à l’ex-ambassadeur des USA en Tunisie pour me compliquer l’obtention d’un visa de voyage. C’est mesquin.
Par ailleurs, tu as toujours escroqué les abonnés annuels de ton journal « l’Audace » qui, après t’avoir payé intégralement ne reçoivent jamais le moindre numéro du dit-journal.
Tu n’escroquais que ton entourage amical qui t’a vomi actuellement pour rester en solitaire.
L’alcool ne t’a rien laissé. Ni argent. Ni Santé. Ni honneur.
Dommage, tu es cuit. Ou plutôt, tu t’es fait cuire par ignorance et par naïveté.
Tu as cru et tu crois toujours à la descendance des anciens colons de la Tunisie pour qu’ils te sauvent de la merde dont tu t’es fait noyer.
Tu t’es comporté en Super-man de carton en Mars 2006 quand j’étais venu à Paris avec l’émissaire « Mohamed Ferjaoui » dit « Hamadi ».
Tu as demandé un appartement luxueux à Saint Michel au cœur de Paris, une bourse pour les études de ta fille, un salaire fixe pour ton épouse de 4000 Euros par mois et un autre salaire pour toi de 7000 Euros par mois avec un supplément de pourcentage sur les ventes de « l’audace » pour céder d’abord le poste de rédacteur en chef à un journaliste Français connu. La gestion du journal était prévue pour « Hamadi » and Co.
En contre partie, le journal « l’Audace » serait vendu dans les institutions publiques en Tunisie et en ambulatoire dans tout le pays sans aucune mention diffamatoire.
Tu étais vraiment d’accord et enthousiasmé par ce compromis qui était la chance de ta vie. En l’occurrence, tu n’as jamais hésité à tendre la main à « Hamadi » pour qu’il te remette à chaque rencontre de chaque jour entre 200 et 500 Euros après qu’il te paye le diner quotidien bien alcoolisé……Tu rentrais chez-toi ivre-mort.
Mais, ce dont tu n’es pas au courant : Ton offre était tellement alléchante où toutes les parties intervenantes se sont disputées les actions et les parts de bénéfices attendus…
« Hamadi » n’a pu réussir l’orchestration de la réussite de ce projet.
Donc, c’est dans l’eau !
Dommage pour « Bagga » la puce dont la valeur réelle ne dépasse les quelques centimes. Mais, il rêve de l’octroi de centaines de milliers d’Euros d’une façon gratis.
Rappelle-toi combien de fois tu as adressé « Hamadi » à ton domicile parental à la Rue de Marseille à Tunis pour qu’il passe un peu d’argent à ton père que tu as abandonné à l’inertie.
Est-ce que tu l’as remboursé ?
« Hamadi » n’a jamais été une association charitaire.
Mais comme le délai de la concrétisation du compromis a tant duré pour annoncer son avortement à notre retour de Paris, tu as couru à ton journal « l’Audace » pour publier un démenti et une critique de la visite de « Hamadi » à Paris.
Et, c’est ton maitre qui t’a fourni les fins fonds des secrets personnels de cet « émissaire » pour couper la route au retour des exilés.
Ne me dis surtout pas que tu es un superman des renseignements généraux.
Bon ! Bref !
En langage direct à « Slim Bagga » : Si tu crois que j'ai des comptes à te rendre en ce qui concerne mes activités personnelles, eh bien là, encore une fois de plus, détrompe-toi. Pour hausser le ton et faire le «Gâabout» du stylo, eh bien là aussi, rappelle-toi que tu n’as aucun diplôme universitaire ni de journaliste ni de faisant fonction de journaliste et à priori, tu as peut-être un certificat de rue ou d’impasse et pas autre chose.
Tu n’es qu’un pauvre monsieur « Dabbouza ». Moi, j'ai payé une facture de malheurs, d’argent et de santé lorsque tu grignotais les miettes de Rached Ghanouchi and Co. entre Londres et Paris. Et si tu parles de dégâts que j’ai causé à l’opposition, eh bien, change tes lunettes et rince-toi la cervelle pour mieux voir et comprendre. Je suis libre de mes agissements et je n’ai pas à me justifier auprès de quiconque. Je me suis retiré tout seul en singulier. Je n’ai pas drainé d’autres personnes sur mon chemin. Mais, je sais que j’ai laissé une grande faille irremplaçable. Je n’ai lésé personne, mais, je ne me laisse pas faire. J’ai cru que cette opposition et cette société civile que je fréquentais et je soutenais, étaient faites d’hommes intègres, crédibles et transparents. Mais, au fait ce n’était que du mensonge et de la blague. Ces gens-là ont besoin de domestiques et pas d’opposants activistes d’un certain niveau intellectuel, de lucidité et de courage. Ces spéculateurs ont besoin de marchandises solubles sur les tribunes qui rapportent des Euros. Moi, je ne fais pas partie de cette variété.
Tu ne fais rien d'intéressant sauf d'être un clown enragé au milieu d'une foule qui te soutient financièrement. Et si tu me parles de dégâts que j'ai causés à la société civile, eh bien tu te trompes encore d'adresse. Contrairement à toi, moi, je n'ai jamais remis le mot de passe de mon adresse e-mail à une antenne sécuritaire ni à l’étranger ni en Tunisie pour piéger mes correspondants et mes amis. Si tu joues au malin avec moi, je te conseille de ne pas jouer au saint, Enness Tâaref Enness et en plus Waktech Nwalliou Chorfa…je te laisse le soin de continuer ce proverbe Tunisien bien signifiant pour ton misérable cas.
Dr. Sahbi Amri