mercredi 22 septembre 2010

L’Association «Saïda», une école d’humanisme et de solidarité

La création récemment par Mme Leïla Ben Al, épouse du Chef de l’Etat et présidente de l’Organisation de la femme arabe, de l’Association «Saïda» pour la lutte contre le cancer, montre la détermination de la Première Dame de Tunisie à promouvoir l’action associative dans le sens d’une société solidaire envers tous ceux qui ont besoin du soutien de la communauté nationale.

Cette association ainsi que le projet de l’Institut El zahraoui dont elle est l’initiatrice montrent l’amour de Mme Leïla Ben Ali porté à ses concitoyens et s’inscrivent en droite ligne dans l’approche que le Président Zine El Abidine Ben Ali a de la solidarité, valeur essentielle qu’il a érigée avec clairvoyance en principe constitutionnel. L’Institut El zahraoui, comme l’a si bien présenté sa noble fondatrice, «aura pour mission d’offrir une prise en charge globale, efficace et innovante de la cancérologie. Il sera d’une dimension digne des grandes nations développées». Ce centre baptisé du nom d’un éminent chirurgien et chercheur arabe du début du XIIe siècle sera sous peu le fleuron de nos institutions en la matière.

L’Association Saïda, en synergie avec l’Institut El zahraoui, vient à point nommé œuvrer dans le but de cultiver le réflexe du dépistage précoce et tous azimuts du cancer. Créé à cet effet donc, l’Institut mettra en place des mécanismes appropriés et sera doté de moyens technologiques des plus innovants. L’Association s’emploiera aussi, de par ses programmes et soutenue par une communication idoine, à mobiliser les consciences et les bonnes volontés rompues à l’action caritative en vue de réunir tous les moyens permettant de prévenir de manière conséquente et à temps ce fléau qu’est le cancer.

La Première Dame de Tunisie, par son altruisme évident et la quintessence d’une grande humanité, inscrit ainsi l’action et le credo de l’Association Saïda comme un acte militant et un hymne au respect de la vie, de la dignité humaine et l’inscrit in fine dans une véritable acception des droits de l’homme dans la modestie du quotidien et loin de rhétorique abstraite.