jeudi 9 décembre 2010
La solidarité : Une valeur constitutionnelle
La Tunisie a célébré le 8 décembre, la journée nationale de solidarité, instituée par le Chef de l’Etat, suite à sa décision historique, en 1992, de créer le Fonds de solidarité nationale (FSN), plus connu sous le nom 26 – 26. L’occasion pour faire le point sur les effets de la solidarité en Tunisie. Une solidarité érigée en une vertu, inscrite dans la constitution, depuis 2002, et qui est aujourd’hui, un véritable système intégré, complémentaire et global. En effet, outre le Fonds 26 - 26, d’autres mécanismes sont venus consolider le principe d’une économie solidaire : Fonds national de l’emploi (FNE), la Banque tunisienne de solidarité (BTS) et les microcrédits accordés par le tissu associatif. La célébration chaque année de cette journée est aussi une occasion pour diffuser les valeurs de la solidarité auprès de toutes les catégories sociales et plus particulièrement auprès de la jeunesse qui représente le pilier de l’avenir.
samedi 27 novembre 2010
Halte au harcèlement sexuel des femmes
Le harcèlement sexuel est une forme de violence à l’encontre des femmes. Ce phénomène devient une préoccupation prioritaire pour des organisations comme l’UNFT ou des associations comme l’ATFD et l’AFTURD, qui sont désormais appeleés à entreprendre des campagnes ciblées. Plus le problème est évoqué et examiné dans les débats publics, plus il est facile de le réduire et le limiter.
Le harcèlement sera éliminé plus efficacement si une action conjointe est menée par les autorités publiques les tous les acteurs de la société civile. En Tunisie, la législation, est à jour, mais on en parle peu.
Le harcèlement sera éliminé plus efficacement si une action conjointe est menée par les autorités publiques les tous les acteurs de la société civile. En Tunisie, la législation, est à jour, mais on en parle peu.
mardi 23 novembre 2010
Association Saïda : 1ère journée de sensibilisation à la prévention du cancer du sein
L’Association «Saïda» de lutte contre le cancer, que préside Madame Leïla Ben Ali, épouse du Chef de l’Etat, a organisé mardi 23 novembre à Gammarth la 1ère journée de sensibilisation à la prévention du cancer du sein. Des spécialistes en cancérologie, en radiologie et en chirurgie, membres de l’association, ont débattu et échangé leurs expériences réciproques dans la lutte contre ce fléau qui occupe la première place sur l’échelle des maladies cancéreuses concernant les femmes. Le programme scientifique à l’ordre du jour s’est articulé autour de plusieurs axes : Les actualités thérapeutiques relatives au cancer du sein, l’état des lieux en Tunisie, l’importance du dépistage, les causes du retard du diagnostic du cancer du sein… Il est à rappeler que l’Association «Saïda», récemment créée par Madame Leïla Ben Ali, s’est donnée pour mission la sensibilisation et l’information qui constituent l’axe majeur de lutte contre cette maladie.
lundi 22 novembre 2010
La société civile tunisienne se mobilise pour lutter contre la violence à l’encontre des femmes
Dans le cadre de la campagne «Les seize jours d’activisme contre la violence liée au genre», la Section Tunisienne d’AI , l’ATFD, l’AFTURD, la FTCC et l’ATL Sida et plusieurs autres associations et organismes de la société civile ont tenu le 10 novembre dernier à Tunis une réunion préparatoire. L’objectif de la campagne est de faire savoir que les droits en matière de sexualité et de procréation sont des droits humains.
Toutes ces organisations ont choisi les dates de la campagne, du 25 novembre, journée internationale de lutte contre la violence à l’égard des femmes, au 10 décembre, journée internationale des droits de l’homme, pour établir un lien symbolique entre la violence à l’égard des femmes d’une part, et les droits de la personne humaine, d’autre part, ainsi que pour mettre l’accent sur le fait que ce genre de violence constitue une violation des droits humains.
Toutes ces organisations ont choisi les dates de la campagne, du 25 novembre, journée internationale de lutte contre la violence à l’égard des femmes, au 10 décembre, journée internationale des droits de l’homme, pour établir un lien symbolique entre la violence à l’égard des femmes d’une part, et les droits de la personne humaine, d’autre part, ainsi que pour mettre l’accent sur le fait que ce genre de violence constitue une violation des droits humains.
samedi 13 novembre 2010
Le Président Zine El Abidine Ben Ali: L'épopée de la modernité continue son chemin
Le discours prononcé par le président Zine El Abidine Ben Ali à l’occasion du 23ème anniversaire du changement a été accueilli avec beaucoup d'enthousiasme par les Tunisiens. Ils y voient une détermination politique pour porter encore plus loin les réalisations. L’épopée de la modernité continue son chemin. La Tunisie émerge du lot et c’est indéniable. La Tunisie est souvent bien notée par les organismes internationaux et c’est incontestable. Cela dit, l’édifice est perfectible. Et le président Zine El Abidine Ben Ali se fait un devoir d’enrichir les acquis accumulés au cours des deux décennies écoulées et de progresser résolument vers l’objectif fixé, à savoir préparer la Tunisie à accéder rapidement au rang de nation développée.
C’est autour de cette vision du présent et de l’avenir du pays que s’opère de manière continue le renouvellement de la vie politique et que se fait l’engagement de toutes les forces politiques, civiles et intellectuelles qui sont animées par la fidélité à la patrie et le dévouement à son service, à promouvoir une expérience politique pour le bien être de tous les Tunisiens. L’enjeu est de persévérer sur cette voie et de redoubler d’efforts pour relever les défis majeurs qui se posent à toutes les sociétés du monde dans les domaines économique, culturel, environnemental, scientifique, médiatique et technologique. La conscience de ces défis cultivera, certainement, l’aptitude des Tunisiens à poursuivre leurs efforts avec succès, sur le chemin du progrès et du développement.
La Tunisie progresse résolument vers ce noble objectif. Tant pis pour les ratés de la modernité s’ils n’arrivent pas à prendre le train en marche.
C’est autour de cette vision du présent et de l’avenir du pays que s’opère de manière continue le renouvellement de la vie politique et que se fait l’engagement de toutes les forces politiques, civiles et intellectuelles qui sont animées par la fidélité à la patrie et le dévouement à son service, à promouvoir une expérience politique pour le bien être de tous les Tunisiens. L’enjeu est de persévérer sur cette voie et de redoubler d’efforts pour relever les défis majeurs qui se posent à toutes les sociétés du monde dans les domaines économique, culturel, environnemental, scientifique, médiatique et technologique. La conscience de ces défis cultivera, certainement, l’aptitude des Tunisiens à poursuivre leurs efforts avec succès, sur le chemin du progrès et du développement.
La Tunisie progresse résolument vers ce noble objectif. Tant pis pour les ratés de la modernité s’ils n’arrivent pas à prendre le train en marche.
vendredi 12 novembre 2010
Libérons le réseau Facebook des mains des terroristes
C’est une lapalissade de dire que la liberté devient dangereuse dès lors qu’elle est entre les mains de personnes aux idées obscurantistes. Triste constat Depuis quelques jours, ces blogueurs-facebookers subissent un harcèlement permanent de la part de quelques facebookers anonymes qui militent pour les valeurs de l’islam politique et islamisme, conservatisme. Alors comment des facebookers islamistes attaquent-ils d’autres facebookers laïcs, athées, démocrates ?
Il est difficile de trouver la réponse dans cette débandade totale ! Les uns crient « scandale », les autres crient « victoire ». Les uns crient à la liberté de parole, les autres crient à la parole de Dieu. Les uns disent que la liberté d’expression est garantie par toutes les lois et tous les traités, les autres répliquent qu’il ne saurait y avoir d’expression critiquant la parole divine et de loi contraire à la loi de Dieu. Et que dit la Loi de Dieu ? Que les athées, laïcs et autres vermines doivent être exterminés !
Nous y sommes ! Merci au réseau Facebook ! Grâce à toi, voilà qu’on découvre au grand jour des islamistes qui ne reculent devant rien pour terroriser les gens et menacer des Tunisiens d’extermination ! Le terme renvoie directement à Adolf Hitler. Ça ne vous rappelle rien ? Passons !
Si on les laisse faire, et si nous dépassons le réseau Facebook, la Tunisie pourrait ressembler au Liban des années 1980 ou à l’Algérie des années 1990. Aux islamistes obscurantistes, le réseau Facebook a offert une aubaine. Qu’en ont-ils fait de cet outil ? Des groupes appelant à la haine entre les citoyens d’un seul peuple. Sous prétexte de défendre une Tunisie morale et musulmane, les islamistes utilisent à mauvais escient le réseau Facebook pour menacer des Tunisiens paisibles d’extermination. Ils sont carrément passés à l’acte en essayant et réussissant à faire taire ces voix aux valeurs contraires aux leurs. Le risque de voir les actes virtuels devenir réels n’est pas minime. C’est un grand danger pour la démocratie virtuelle.
Il est difficile de trouver la réponse dans cette débandade totale ! Les uns crient « scandale », les autres crient « victoire ». Les uns crient à la liberté de parole, les autres crient à la parole de Dieu. Les uns disent que la liberté d’expression est garantie par toutes les lois et tous les traités, les autres répliquent qu’il ne saurait y avoir d’expression critiquant la parole divine et de loi contraire à la loi de Dieu. Et que dit la Loi de Dieu ? Que les athées, laïcs et autres vermines doivent être exterminés !
Nous y sommes ! Merci au réseau Facebook ! Grâce à toi, voilà qu’on découvre au grand jour des islamistes qui ne reculent devant rien pour terroriser les gens et menacer des Tunisiens d’extermination ! Le terme renvoie directement à Adolf Hitler. Ça ne vous rappelle rien ? Passons !
Si on les laisse faire, et si nous dépassons le réseau Facebook, la Tunisie pourrait ressembler au Liban des années 1980 ou à l’Algérie des années 1990. Aux islamistes obscurantistes, le réseau Facebook a offert une aubaine. Qu’en ont-ils fait de cet outil ? Des groupes appelant à la haine entre les citoyens d’un seul peuple. Sous prétexte de défendre une Tunisie morale et musulmane, les islamistes utilisent à mauvais escient le réseau Facebook pour menacer des Tunisiens paisibles d’extermination. Ils sont carrément passés à l’acte en essayant et réussissant à faire taire ces voix aux valeurs contraires aux leurs. Le risque de voir les actes virtuels devenir réels n’est pas minime. C’est un grand danger pour la démocratie virtuelle.
jeudi 28 octobre 2010
Démarrage aujourd’hui du 3e Congrès de l’OFA
La femme arabe, un acteur déterminant pour l’avenir de sa région
C’est sous un thème pertinent et mobilisateur:«La femme arabe, un partenaire essentiel dans le processus de développement durable» que démarrent aujourd’hui, 28 octobre 2010, à Tunis, les travaux du troisième Congrès de l’Organisation de la femme arabe (OFA) pour se poursuivre jusqu’au 30 du mois. Comportant sept sessions scientifiques et une table ronde, le Congrès est rehaussé par la participation de Premières dames arabes qui prendront la parole au cours de la séance inaugurale. Celle-ci sera marquée par le discours d’ouverture de Madame Leïla Ben Ali, épouse du Chef de l’Etat, présidente de l’OFA et présidente du Congrès. En plus de la sensibilisation à l’importance que doit revêtir le développement durable pour la survie de l’humanité, le Congrès se propose de mettre au point une vision arabe commune quant à la future participation de la femme dans le processus de développement durable. Il projette également de consolider le principe de partenariat en vue de mettre en valeur le rôle de la femme et son importance, aussi bien dans la prise de décision que dans la gestion de ressources ou dans sa part dans les fruits du développement.
Le Congrès vise, par ailleurs, à définir un cadre de travail permettant d’intégrer le durable en tant que dimension permanente et de référence dans tous les domaines du développement en tenant compte des spécificités de la femme dans le milieu urbain comme dans les zones rurales. Il a également pour objectif de réaffirmer le souci de l’OFA de participer activement à la concrétisation du développement durable dans la région arabe en mobilisant toutes les énergies afin de relever les défis actuels et futurs. Rappelons que le thème du Congrès a été proposé par Madame Leïla Ben Ali lors de la 4eréunion du Conseil supérieur de l’OFA, tenu en juin 2009 à Tunis.
C’est donc dans une ambiance imprégnée de fraternité et de coopération que cet important rendez-vous démarre, venant ajouter ainsi une pierre angulaire à l’édification de l’unité arabe.
mardi 12 octobre 2010
Appels au Président Ben Ali à se porter candidat à la Présidentielle 2014-2019
Les propriétaires d’hôtels, d’agences de voyages, leurs gérants et leurs salariés exhortent le Président Ben Ali à se porter candidat à la Présidentielle 2014-2019
Dans le cadre de l’élan citoyen et politique exhortant le Président Ben Ali à se porter candidat à la Présidentielle 2014-2019, les propriétaires d’hôtels, d’agences de voyage, leurs gérants et leurs salariés ont rendu public un appel dans lequel ils expriment «avec fidélité et dévouement, leur immense considération et leur grande fierté pour tout ce qui a été réalisé pour la patrie depuis le Changement du 7 Novembre 1987, en acquis, réalisations pionnières et réformes judicieuses dans tous les domaines qui ont permis de consolider le régime républicain et la stabilité et d’enraciner le développement intégral propulsant ainsi le pays à un rang honorable dans le concert des Nations ».
Les propriétaires d’hôtels, d’agences de voyage, leurs gérants et leurs salariés renouvellent leur «conviction que le projet civilisationnel avec ses horizons politiques, économiques et sociales dont les bases ont été jetées par le Président Zine El Abidine Ben Ali, nécessite pour son parachèvement un leadership fort et visionnaire. Ce leadership est concrétisé sans conteste par le rôle historique du Président Ben Ali qui a assuré à la Tunisie le passage à des rangs avancés et dont le peuple croit fermement qu’il est le meilleur choix pour la poursuite de son projet réformateur réussi ».
Pour ces raisons et partant de leur profonde et réelle foi en lui, Les propriétaires d’hôtels, d’agences de voyage, leurs gérants et leurs salariés dressent par «cet appel au Président Zine El Abidine Ben Ali pour l’exhorter à se porter candidat à la prochaine présidentielle 2014-2019 pour qu’il poursuive son projet national, étant donné qu’il est le garant de la fierté de la Tunisie, son invulnérabilité, son développement et lui permettre d’atteindre les rangs des pays développés».
Dans le cadre de l’élan citoyen et politique exhortant le Président Ben Ali à se porter candidat à la Présidentielle 2014-2019, les propriétaires d’hôtels, d’agences de voyage, leurs gérants et leurs salariés ont rendu public un appel dans lequel ils expriment «avec fidélité et dévouement, leur immense considération et leur grande fierté pour tout ce qui a été réalisé pour la patrie depuis le Changement du 7 Novembre 1987, en acquis, réalisations pionnières et réformes judicieuses dans tous les domaines qui ont permis de consolider le régime républicain et la stabilité et d’enraciner le développement intégral propulsant ainsi le pays à un rang honorable dans le concert des Nations ».
Les propriétaires d’hôtels, d’agences de voyage, leurs gérants et leurs salariés renouvellent leur «conviction que le projet civilisationnel avec ses horizons politiques, économiques et sociales dont les bases ont été jetées par le Président Zine El Abidine Ben Ali, nécessite pour son parachèvement un leadership fort et visionnaire. Ce leadership est concrétisé sans conteste par le rôle historique du Président Ben Ali qui a assuré à la Tunisie le passage à des rangs avancés et dont le peuple croit fermement qu’il est le meilleur choix pour la poursuite de son projet réformateur réussi ».
Pour ces raisons et partant de leur profonde et réelle foi en lui, Les propriétaires d’hôtels, d’agences de voyage, leurs gérants et leurs salariés dressent par «cet appel au Président Zine El Abidine Ben Ali pour l’exhorter à se porter candidat à la prochaine présidentielle 2014-2019 pour qu’il poursuive son projet national, étant donné qu’il est le garant de la fierté de la Tunisie, son invulnérabilité, son développement et lui permettre d’atteindre les rangs des pays développés».
samedi 2 octobre 2010
La présidence tunisienne de l’OFA : des programme innovants
Présidente de l’Organisation de la femme arabe depuis mars 2009 et jusqu’à février 2011, Leïla Ben Ali a engagé une dynamique nouvelle et fourni une visibilité plus grande à l’OFA. Elle a donné la priorité à la mise en œuvre de programmes innovants qui ont assuré un bond qualitatif à ses activités.
Outre les différents forums organisés sous son parrainage, le prix de la meilleure production journalistique sur la femme arabe (crée sur son initiative en 2001) et le lancement de la revue Sawt al-mar’a al-arabiya (« La voix de la femme arabe »), éditée à Tunis, la première dame tunisienne a fait adopter des propositions comme la création d’une commission de la femme arabe pour le droit international humanitaire, institué é en février, et celle , à venir, d’un observatoire des législations sociales et politiques sur la situation des femmes arabes.
Consacré au thème «La femme arabe, partenaire essentiel dans le processus de développement durable», le congrès d’octobre décidera notamment de l’élaboration d’une «stratégie arabe de lutte contre la violence à l’égard des femmes», un domaine considéré comme prioritaire par la présidence tunisienne de l’OFA et dans lequel le pays fait figure pionnier.
Faouzia Zouari, Jeune Afrique, n° 2594, du 26 septembre au 2 octobre 2010
Outre les différents forums organisés sous son parrainage, le prix de la meilleure production journalistique sur la femme arabe (crée sur son initiative en 2001) et le lancement de la revue Sawt al-mar’a al-arabiya (« La voix de la femme arabe »), éditée à Tunis, la première dame tunisienne a fait adopter des propositions comme la création d’une commission de la femme arabe pour le droit international humanitaire, institué é en février, et celle , à venir, d’un observatoire des législations sociales et politiques sur la situation des femmes arabes.
Consacré au thème «La femme arabe, partenaire essentiel dans le processus de développement durable», le congrès d’octobre décidera notamment de l’élaboration d’une «stratégie arabe de lutte contre la violence à l’égard des femmes», un domaine considéré comme prioritaire par la présidence tunisienne de l’OFA et dans lequel le pays fait figure pionnier.
Faouzia Zouari, Jeune Afrique, n° 2594, du 26 septembre au 2 octobre 2010
vendredi 1 octobre 2010
Année internationale de la jeunesse : une initiative tunisienne
Dans le contexte d’une nouvelle civilisation mondiale, la transformation du réel ne peut pas se limiter exclusivement à l’ordre économique. La culture et les valeurs sont décisives pour une civilisation effectivement humaine et mondiale. Une civilisation de coopération, de partenariat, de solidarité et de partage, à l’opposé des logiques de concurrence, de rivalité et d’hégémonie.
C’est tout l’enjeu de la réussite de l’Appel lancé au mois de novembre 2008 par le Président Ben Ali à la communauté internationale à «placer l’année 2010 sous le sous le signe de l’Année mondiale de la jeunesse, et à la tenue, au cours de ladite année, sous les auspices des Nations Unies et avec le concours des organisations internationales concernées, d’un congrès mondial de la jeunesse, auquel participeraient des jeunes du monde entier, pour débattre de thèmes qui intéressent les jeunes et déboucher sur la promulgation d’un Pacte international qui consacrerait l’attachement indéfectible de la jeunesse mondiale aux valeurs universelles communes».
Le thème «Dialogue et compréhension mutuelle », proposé par le Président tunisien Zine El Abidine Ben Ali pour cette Année internationale et adopté à l’unanimité par la résolution onusienne en décembre 2009, est particulièrement bienvenu pour que les jeunes du monde soient déterminés à lutter contre toutes les haines et les incompréhensions et pour asseoir les fondements de paix, de dialogue entre les cultures et les civilisations.
C’est tout l’enjeu de la réussite de l’Appel lancé au mois de novembre 2008 par le Président Ben Ali à la communauté internationale à «placer l’année 2010 sous le sous le signe de l’Année mondiale de la jeunesse, et à la tenue, au cours de ladite année, sous les auspices des Nations Unies et avec le concours des organisations internationales concernées, d’un congrès mondial de la jeunesse, auquel participeraient des jeunes du monde entier, pour débattre de thèmes qui intéressent les jeunes et déboucher sur la promulgation d’un Pacte international qui consacrerait l’attachement indéfectible de la jeunesse mondiale aux valeurs universelles communes».
Le thème «Dialogue et compréhension mutuelle », proposé par le Président tunisien Zine El Abidine Ben Ali pour cette Année internationale et adopté à l’unanimité par la résolution onusienne en décembre 2009, est particulièrement bienvenu pour que les jeunes du monde soient déterminés à lutter contre toutes les haines et les incompréhensions et pour asseoir les fondements de paix, de dialogue entre les cultures et les civilisations.
jeudi 30 septembre 2010
Leïla Ben Ali : Pour une réalité meilleure des personnes âgées
Mme Leïla Ben Ali, épouse du Président de la République et Présidente de l'Organisation de la Femme Arabe (OFA) a ouvert le samedi 25 septembre 2010, la Conférence arabe sur le thème: «Pour une réalité meilleure des personnes âgées dans la région arabe». Cette conférence est organisée par la Tunisie, en collaboration avec l’Organisation de la Femme Arabe et l’Organisation de la Famille Arabe, à l’occasion de la célébration, pour la première fois, de la Journée arabe des personnes âgées qui a été instituée sur proposition de Mme Leïla Ben Ali, dans le cadre de son mandat à la tête de l’OFA, proposition qui a eu un écho des plus favorables auprès des Premières Dames arabes et qui a bénéficié du soutien et de l’appui des ministres arabes des Affaires sociales.
mercredi 29 septembre 2010
Tous les Tunisiens avec Ben Ali en 2014
«La préservation des intérêts nationaux demeure aux dessus de toute autre considération. Aussi, tout changement ne doit pas porter atteinte aux objectifs et doit se limiter aux seules méthodes et aux mécanismes. Cette règle gagne en pertinence en réalisant que votre vision du changement n’est pas une simple théorie, une méthode politique ou un système économique. Elle est devenue pour les Tunisiens un mode de vie qu’ils ont adopté en se référant à leur libre arbitre et ont bénéficié de ses vertus. Ils ont également saisi le parti pris de son instigateur pour tout ce qui garantit leurs droits et confirme leur identité humaine. Ce mode de vie, les Tunisiens refusent de s’en désister et de le livrer aux périls. Conscients que nous abordons une nouvelle étape décisive dans l’histoire contemporaine de la Tunisie. Une étape qui fait état d’options déterminantes pour notre devenir, à la lumière des changements successifs qui dépassent toutes les prévisions et nous poussent à confirmer que la prochaine étape ne sera point facile…Etant persuadé que l’avenir du pays ne dépend pas des slogans mais plutôt de l’œuvre sérieuse qui se réfère à des approches réalistes, des visions profondes et des programmes clairs et prospectifs ».
Les signataires de l’Appel des 65, Al-Chourouk , 8 août 2010
Les signataires de l’Appel des 65, Al-Chourouk , 8 août 2010
mardi 28 septembre 2010
Leïla Ben Ali et les aspirations de la femme arabe à la modernité
Dans un ouvrage intitulé, «Leïla Ben Ali et les aspirations de la femme arabe à la modernité» édité tout récemment à Beyrouth, l’universitaire libanaise, Dr Rafif Saïdaoui, analyse la pensée de la Première Dame de Tunisie à travers l’action qu’elle mène à la tête de l’Organisation de la Femme Arabe OFA et de l’Association Basma en faveur de la promotion de la femme tunisienne et arabe.
L’auteur a notamment focalisé son analyse sur ce que Mme Leïla Ben Ali ne cesse de faire pour promouvoir l’égalité entre l’homme et la femme, les législations consacrant la parité, l’approche genre en matière de développement, l’implication de la femme dans la gestion des affaires de la cité, et la contribution effective de la femme dans la dynamique de développement des sociétés arabes. L’évolution de la condition des femmes reste le baromètre qui renseigne sur le degré d’évolution des pays arabes et de leur ancrage dans la modernité.
Puisant dans la richesse et les acquis de l’expérience tunisienne en matière de promotion des droits de la femme à une citoyenneté à part entière et un partenariat effectif avec l’homme dans l’effort de développement national, Mme Leïla Ben Ali a multiplié les initiatives au cours de son mandat à la tête de l’Organisation de la Femme Arabe pour épouser les aspirations de la femme arabe à la modernité, faire évoluer les législations nationales dans le respect des traditions de chaque pays.
En fait, résume le Dr Saïdaoui, «ce sont les différentes péripéties de l’histoire radieuse de son pays qui constituent la matrice de l’action de Mme Ben Ali en faveur de la femme».
«Leïla Ben Ali et les aspirations de la femme arabe à la modernité» est un ouvrage qui constitue à la fois un hommage rendu à l’action de Mme Leïla Ben Ali et une tentative réussie qui a pour objectif de conceptualisation d’une expérience unique dans le monde arabo-musulman.
L’auteur a notamment focalisé son analyse sur ce que Mme Leïla Ben Ali ne cesse de faire pour promouvoir l’égalité entre l’homme et la femme, les législations consacrant la parité, l’approche genre en matière de développement, l’implication de la femme dans la gestion des affaires de la cité, et la contribution effective de la femme dans la dynamique de développement des sociétés arabes. L’évolution de la condition des femmes reste le baromètre qui renseigne sur le degré d’évolution des pays arabes et de leur ancrage dans la modernité.
Puisant dans la richesse et les acquis de l’expérience tunisienne en matière de promotion des droits de la femme à une citoyenneté à part entière et un partenariat effectif avec l’homme dans l’effort de développement national, Mme Leïla Ben Ali a multiplié les initiatives au cours de son mandat à la tête de l’Organisation de la Femme Arabe pour épouser les aspirations de la femme arabe à la modernité, faire évoluer les législations nationales dans le respect des traditions de chaque pays.
En fait, résume le Dr Saïdaoui, «ce sont les différentes péripéties de l’histoire radieuse de son pays qui constituent la matrice de l’action de Mme Ben Ali en faveur de la femme».
«Leïla Ben Ali et les aspirations de la femme arabe à la modernité» est un ouvrage qui constitue à la fois un hommage rendu à l’action de Mme Leïla Ben Ali et une tentative réussie qui a pour objectif de conceptualisation d’une expérience unique dans le monde arabo-musulman.
lundi 27 septembre 2010
السيدة ليلى بن علي: بعد إنساني عميق
منذ تولّيها رئاسة منظمة المرأة العربية سنة 2009، أضفت السيدة ليلى بن علي، حرم رئيس الجمهورية زين العابدين بن علي، على هذه المنظمة ديناميكية وبعدا جديدين من خلال المبادرات التي اتخذتها في هذا الإطار من أجل النهوض بالمرأة العربية وجعلها بحقّ عنصرا فاعلا في المسيرة التنموية الشاملة بالبلدان العربية.
ومن بين هذه المبادرات إحداث لجنة المرأة العربية للقانون الدولي الإنساني والاحتفال سنويا بيوم المسنين العرب في الخامس والعشرين من سبتمبر. وتعكس هاتان المبادرتان مدى تطوّر البعد الإنساني في شخصية سيدة تونس الأولى وتترجمان عمق البعد الإنساني في فكرها وتشبثها بقيم الخير والتآزر التي نشأت عليها مما يجعلها نموذجا لأصالة المرأة التونسية وحداثتها وقدوة للمرأة العربية.
وإن إسناد منظمة الأسرة العربية درع الريادة الأسرية للسيدة ليلى بن علي- في إطار الاحتفال بهذا اليوم ولأوّل مرة في 25 سبتمبر 2010 بمناسبة إشرافها على افتتاح الندوة العربية حول موضوع "من أجل واقع أفضل لكبار السن في المنطقة العربية"- يشكّل شهادة تقدير جديدة لتونس والسياسة الحكيمة التي رسمها الرئيس زين العابدين بن علي الهادفة إلى الارتقاء بالإنسان باستمرار والقائمة بالخصوص على تحقيق التوازن بين البعدين الاقتصادي والاجتماعي في عملية التنمية.
إن تقدير المجموعة العربية للمبادرات الإنسانية للسيدة ليلى بن علي لشرف لكل التونسيين لأنها اعتراف بصواب خيارات الرئيس زين العابدين بن علي ووجاهة سياساته التي ترتقي كلّ يوم بتونس إلى مراتب أعلى على درب التقدم والازدهار والرفاه.
jeudi 23 septembre 2010
Tunisie : importantes avancées dans la concrétisation des OMD
Les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) portent sur huit objectifs à atteindre, à l’horizon 2015, à savoir l’éradication de l’extrême pauvreté et de la faim, l’éducation primaire pour tous, l’égalité des genres et l’autonomisation des femmes, la réduction de la mortalité infantile, l’amélioration de la santé maternelle, la lutte contre le VIH, le paludisme et autres maladies, la garantie d’un environnement durable et la mise en place d’un partenariat mondial pour le développement.
La Tunisie, de l’avis des responsables onusiens, figure parmi les rares pays africains à avoir réalisé les OMD, avant l’échéance 2015 et ce, à la faveur de son approche multidimensionnelle du développement et de ses acquis et programmes mis en oeuvre pour un développement durable et équitable.
Ainsi, le taux de pauvreté a enregistré un net recul pour se réduire à 3,8%, celui des enfants de 6 ans inscrits en première année de l’enseignement de base s’est élevé à 99,2 % et celui de la scolarisation des enfants de la tranche d’âge des 6-12 ans a augmenté à 97,7 %.
En matière de santé de la mère et de l’enfant, des stratégies et des programmes préventifs ont été mis en place, concernant, notamment, la visite médicale prénuptiale, le suivi médical de la grossesse et l’accouchement sous contrôle médical, outre l’élaboration d’un guide de soins et de prise en charge du nouveau-né pour prévenir la mortalité infantile, dont le taux se situe 18,4 pour mille. Des efforts sont menés en matière de lutte contre la maladie du Sida à travers la sensibilisation à la prévention contre le VIH. En concrétisation de ses engagements relatifs aux OMD, la Tunisie a déployé d’importants efforts pour garantir l’égalité des genres et un accès équitable au développement.
Par ailleurs, la Tunisie réserve un intérêt particulier au secteur de l’environnement et du développement durable pour son impact sur le développement économique et social et sur la protection des ressources naturelles. Un taux de 1,2 % du PIB est consacré au secteur afin d’améliorer la qualité de la vie et garantir le droit des générations futures à un environnement sain. Ces efforts ont valu à la Tunisie d’être classée premier pays arabe en matière de qualité de la vie par «International living», observateur de la qualité de la vie dans le monde. La réalisation de la plupart des objectifs du millénaires a, également, permis à la Tunisie de se placer parmi les pays enregistrant l’Indice de développement humain (IDH) le plus élevé.
La Tunisie, de l’avis des responsables onusiens, figure parmi les rares pays africains à avoir réalisé les OMD, avant l’échéance 2015 et ce, à la faveur de son approche multidimensionnelle du développement et de ses acquis et programmes mis en oeuvre pour un développement durable et équitable.
Ainsi, le taux de pauvreté a enregistré un net recul pour se réduire à 3,8%, celui des enfants de 6 ans inscrits en première année de l’enseignement de base s’est élevé à 99,2 % et celui de la scolarisation des enfants de la tranche d’âge des 6-12 ans a augmenté à 97,7 %.
En matière de santé de la mère et de l’enfant, des stratégies et des programmes préventifs ont été mis en place, concernant, notamment, la visite médicale prénuptiale, le suivi médical de la grossesse et l’accouchement sous contrôle médical, outre l’élaboration d’un guide de soins et de prise en charge du nouveau-né pour prévenir la mortalité infantile, dont le taux se situe 18,4 pour mille. Des efforts sont menés en matière de lutte contre la maladie du Sida à travers la sensibilisation à la prévention contre le VIH. En concrétisation de ses engagements relatifs aux OMD, la Tunisie a déployé d’importants efforts pour garantir l’égalité des genres et un accès équitable au développement.
Par ailleurs, la Tunisie réserve un intérêt particulier au secteur de l’environnement et du développement durable pour son impact sur le développement économique et social et sur la protection des ressources naturelles. Un taux de 1,2 % du PIB est consacré au secteur afin d’améliorer la qualité de la vie et garantir le droit des générations futures à un environnement sain. Ces efforts ont valu à la Tunisie d’être classée premier pays arabe en matière de qualité de la vie par «International living», observateur de la qualité de la vie dans le monde. La réalisation de la plupart des objectifs du millénaires a, également, permis à la Tunisie de se placer parmi les pays enregistrant l’Indice de développement humain (IDH) le plus élevé.
mercredi 22 septembre 2010
L’Association «Saïda», une école d’humanisme et de solidarité
La création récemment par Mme Leïla Ben Al, épouse du Chef de l’Etat et présidente de l’Organisation de la femme arabe, de l’Association «Saïda» pour la lutte contre le cancer, montre la détermination de la Première Dame de Tunisie à promouvoir l’action associative dans le sens d’une société solidaire envers tous ceux qui ont besoin du soutien de la communauté nationale.
Cette association ainsi que le projet de l’Institut El zahraoui dont elle est l’initiatrice montrent l’amour de Mme Leïla Ben Ali porté à ses concitoyens et s’inscrivent en droite ligne dans l’approche que le Président Zine El Abidine Ben Ali a de la solidarité, valeur essentielle qu’il a érigée avec clairvoyance en principe constitutionnel. L’Institut El zahraoui, comme l’a si bien présenté sa noble fondatrice, «aura pour mission d’offrir une prise en charge globale, efficace et innovante de la cancérologie. Il sera d’une dimension digne des grandes nations développées». Ce centre baptisé du nom d’un éminent chirurgien et chercheur arabe du début du XIIe siècle sera sous peu le fleuron de nos institutions en la matière.
L’Association Saïda, en synergie avec l’Institut El zahraoui, vient à point nommé œuvrer dans le but de cultiver le réflexe du dépistage précoce et tous azimuts du cancer. Créé à cet effet donc, l’Institut mettra en place des mécanismes appropriés et sera doté de moyens technologiques des plus innovants. L’Association s’emploiera aussi, de par ses programmes et soutenue par une communication idoine, à mobiliser les consciences et les bonnes volontés rompues à l’action caritative en vue de réunir tous les moyens permettant de prévenir de manière conséquente et à temps ce fléau qu’est le cancer.
La Première Dame de Tunisie, par son altruisme évident et la quintessence d’une grande humanité, inscrit ainsi l’action et le credo de l’Association Saïda comme un acte militant et un hymne au respect de la vie, de la dignité humaine et l’inscrit in fine dans une véritable acception des droits de l’homme dans la modestie du quotidien et loin de rhétorique abstraite.
Cette association ainsi que le projet de l’Institut El zahraoui dont elle est l’initiatrice montrent l’amour de Mme Leïla Ben Ali porté à ses concitoyens et s’inscrivent en droite ligne dans l’approche que le Président Zine El Abidine Ben Ali a de la solidarité, valeur essentielle qu’il a érigée avec clairvoyance en principe constitutionnel. L’Institut El zahraoui, comme l’a si bien présenté sa noble fondatrice, «aura pour mission d’offrir une prise en charge globale, efficace et innovante de la cancérologie. Il sera d’une dimension digne des grandes nations développées». Ce centre baptisé du nom d’un éminent chirurgien et chercheur arabe du début du XIIe siècle sera sous peu le fleuron de nos institutions en la matière.
L’Association Saïda, en synergie avec l’Institut El zahraoui, vient à point nommé œuvrer dans le but de cultiver le réflexe du dépistage précoce et tous azimuts du cancer. Créé à cet effet donc, l’Institut mettra en place des mécanismes appropriés et sera doté de moyens technologiques des plus innovants. L’Association s’emploiera aussi, de par ses programmes et soutenue par une communication idoine, à mobiliser les consciences et les bonnes volontés rompues à l’action caritative en vue de réunir tous les moyens permettant de prévenir de manière conséquente et à temps ce fléau qu’est le cancer.
La Première Dame de Tunisie, par son altruisme évident et la quintessence d’une grande humanité, inscrit ainsi l’action et le credo de l’Association Saïda comme un acte militant et un hymne au respect de la vie, de la dignité humaine et l’inscrit in fine dans une véritable acception des droits de l’homme dans la modestie du quotidien et loin de rhétorique abstraite.
mercredi 1 septembre 2010
"ليلى بن علي وتطلعات المرأة العربية إلى الحداثة"،
شهادة جديدة حول شخصية سيدة تونس الأولى رمز الأصالة والحداثة
«السيدة ليلى بن علي هي سليلة التاريخ النضالي المشرف للمرأة التونسية ايمانا منها بان تحرير المرأة مرتبط ارتباطا جدليا بتحرر المجتمع سياسيا واقتصاديا وفكريا وثقافيا واجتماعيا. لقد حملت السيدة ليلى بن علي إذا في ذاكرتها كل ذلك التاريخ المضيء ومضت في تجسيده وفق رؤية تقدمية لقضايا المرأة حيث غدت قضية النهوض بالمرأة وتطوير وضعها وتمكينها واحدة من أهم القضايا المعاصرة ومحورا أساسيا من محاور اهتمام الحكومات والهيئات الأهلية ومنظمات المجتمع المدني في غالبية دول العالم وذلك في سياق المفهوم الانساني للتنمية المستدامة الذي لا يستوي معه أي شكل من أشكال التمييز القائم على الجنس"، ذلك ما ورد وفي تقديم الدكتورة رفيف صيداوي لكتابها الجديد بعنوان "ليلى بن علي وتطلعات المرأة العربية إلى الحداثة".
وحللت الباحثة في مؤلفها، الذي صدر في بيروت عن دار الميثاق للدراسات والنشر اللبنانية، فكر السيدة ليلى بن علي الرئيسة الحالية لمنظمة المرأة العربية ورئيسة جمعية «بسمة» لتشغيل المعوقين ورئيسة جمعية "سيدة" لمكافحة السرطان واثر جهودها ومبادراتها في الحقلين الاجتماعي والإنساني على المرأة التونسية والعربية وعلى الطفولة والأسرة والمعوقين وذوي الاحتياجات الخصوصية.
واستعــرضت الباحــثـة اللبنانية في الكتاب مبادرات السيدة ليلى بن علي للرقي بأوضاع المرأة التونسية والعربية وبالأسرة والطفولة وذوي الاحتياجات الخصوصية وحللت أبعادها، مؤكدة ان السيدة ليلى بن علي رئيسة منظمة المرأة العربية تعمل من موقعها كسيدة تونس الأولى وكأم وكمواطنة تونسية وعربية على الإسهام في إنجاح مختلف الجهود الرامية للنهوض بالمرأة والأسرة والطفولة محليا وعربيا ودوليا بعد ان شخصت المشاكل واقترحت الحلول.
وتضيف الكاتبة اللبنانية في مؤلفها انه أسوة بالرئيس زين العابدين بن علي الذي مكن المرأة من الحضور في دوائر القرار والمسؤولية وفي جهود التنمية، تعمل السيدة ليلى بن علي منذ توليها رئاسة منظمة المرأة العربية في ربيع 2009 على استنهاض همة المرأة وحمل المجتمع العربي على الانخراط في جهود دفع مسيرة التحديث والتطوير وتأمين حظوظ المساواة بين الجنسين في الوطن العربي وتمكين المرأة من حقوقها كاملة ووضعها على الخط الموصل للمشاركة في الشأن العام وفي عملية التنمية الشاملة.
وتقول الدكتورة صيداوي في خاتمة كتابها "في اكتوبر 2010 وعندما يلتئم المؤتمر الثالث لمنظمة المرأة العربية في تونس سوف تكتشف المرأة في وطننا العربي أكثر أبعاد ودلالات الشعار الذي اختارته رئيسة منظمة المراة العربية السيدة ليلى بن علي للمؤتمر الذي سيعقد تحت عنوان :المرأة العربية شريك أساسي في مسار التنمية المستدامة".
وكتاب "ليلى بن علي وتطلعات المرأة العربية إلى الحداثة" مؤلف جديد يضاف إلى غيره من الكتب التي تتناول ملامح شخصية سيدة تونس الأولى، رمز الأصالة والحداثة
vendredi 20 août 2010
La femme en Tunisie, un partenaire à part entière
L’émancipation de la femme tunisienne est fortement liée à la promulgation du Code du statut personnel en août 1956, c’est-à-dire seulement cinq mois après l’accession de la Tunisie à l’indépendance.
Cette consécration législative a été, en bonne partie, inspirée par plusieurs écrits progressistes, œuvres de libéraux et de féministes avant-gardistes, avec à leur tête, Tahar Haddad. Le texte de 1956 abolissait notamment la polygamie et la répudiation et instituait le divorce judiciaire. Dans la société, la femme avait désormais le droit à l’éducation, au travail, au vote et à la gestion de sa vie personnelle et sexuelle.
Avec le Changement du 7 novembre 1987, ces acquis se sont consolidés sous l'impulsion du Président Ben Ali. C'est ainsi qu'en 1988, le Pacte national a confirmé le principe d’égalité entre l’homme et la femme et en 1989, la Tunisie a ratifié la convention des Nations Unies sur l’interdiction de toute discrimination à l’égard des femmes. En 1993, le principe de la coresponsabilité familiale du couple est institué. En outre, la création, d’abord en 1990 du Centre de recherches, d’études, de documentation et d’information sur la femme (CREDIF) doté, depuis fin 1993, d’un observatoire de la condition de la femme, puis en 1992 du ministère des Affaires de la Femme et de la Famille a permis à la Tunisie de disposer de structures consacrées à la femme et de moyens pour assurer sa participation en tant qu’élément actif de la société. Enfin, le Code du travail, depuis 1992, date à laquelle il a fait l’objet d’un amendement, affirme le principe de non-discrimination entre l’homme et la femme dans tous les aspects du travail (accès à l’emploi, égalité de salaire), aussi bien pour le secteur public que pour le secteur privé.
Le statut privilégié et unique des femmes tunisiennes dans le monde arabe et musulman est principalement l’œuvre d’une élite intellectuelle et politique inspirée des idées des Lumières. Il est certain cependant que la société tunisienne portait en elle-même les germes de la libération féminine pour avoir accepté et mis en œuvre les profondes réformes sociales qu’impliquait l’égalité homme/ femme. Par ailleurs, aucune régression n’a été effectuée depuis les premières promulgations de 1956. Bien au contraire, plusieurs pierres sont venues, depuis le Changement du 7 novembre, consolider l’édifice qui consacre la centralité de la place de la femme dans l’œuvre de développement national.
La femme tunisienne et les acquis de la modernité
Comme chaque année, la Tunisie célèbre la fête nationale de la femme. Une occasion renouvelée pour mieux apprécier la portée des réformes entreprises dans ce pays depuis son indépendance en 1956 et consolidées depuis l'avènement du 7 novembre 1987 pour assurer la promotion de la femme et conforter son rôle dans la société ainsi que son statut privilégié de partenaire à part entière.
Ce choix sociétal avant-gardiste procède de la spécificité de la société tunisienne et du souci de faire évoluer graduellement l'égalité entre les sexes au partenariat entre la femme et l'homme.
Cette option puise ses fondamentaux à la fois dans une tradition jurisprudentielle authentiquement tunisienne qui appelle à honorer la personne humaine, le droit et la tolérance ainsi que dans les valeurs de la modernité qui conduisent à rompre avec l'obscurantisme.
C'est là qu'il faut situer la double victoire de la modernité dans la société tunisienne. Certes, le code du statut personnel a instauré, à partir de 1956, un nouveau régime de la famille inspiré par une vision moderniste de la société tunisienne.
Les réformes qui ont complété ce Code, ont permis tout au long des deux dernières décennies, de faire évoluer la situation des femmes et de leur permettre d'accéder à un meilleur statut social.
Les décisions et mesures en faveur de la femme, de la famille et de l'enfant, ont constitué une avancée substantielle sur la voie de la cohésion sociale, généré une dynamique juridique et culturelle dans le sens du progrès et de la modernité et ont fait de nouveau de l'émancipation des femmes une question politique de premier plan.
Dans ce sens, les mesures politiques et institutionnelles prises, au cours des deux dernières décennies, par la volonté politique pour une meilleure intégration de la femme dans le processus économique et le développement durable constituent un facteur fondamental dans le cumul des acquis en faveur du partenariat entre la femme et l'homme et de la citoyenneté des femmes.
Les espaces citoyens ouverts aux femmes ainsi que les cadres de la solidarité entre femmes participent à ouvrir des perspectives et fructifier les expériences des femmes dans le pays.
Les femmes mues par les valeurs de la modernité, de l'égalité et du partenariat cultivent une aspiration toujours renouvelée: pouvoir utiliser toutes ses capacités, pour s'investir dans sa condition humaine et conjuguer la modernité au féminin.
En Tunisie, les réalités quotidiennes montrent chaque jour la force et la réalité en acte de l'idée que la personne humaine féminine peut et doit être, source et centre, sujet d'initiative de tous les aspects de la modernité.
Organisation de la femme arabe: L'apport distingué de la présidence tunisienne
La fête nationale de la femme tunisienne revêt, en 2010, un caractère particulier, dans la mesure où elle coïncide avec la présidence tunisienne réussie de l'Organisation de la femme arabe (OFA) marquée par des réalisations qualitatives sur la voie de la promotion de la femme arabe.
Depuis son accession à la présidence de l'OFA, en mars 2009, Mme Leila Ben Ali, épouse du Président Ben Ali, a présenté des initiatives concrètes et à proposer la mise en place de programmes et de mécanismes nouveaux, afin que l'Organisation entame une nouvelle étape sur la voie de la promotion des droits de la femme arabe.
A ce niveau, l'OFA s'est inspirée de la riche expérience nationale, dans ce domaine, ainsi que des orientations civilisationnelles d'avant-garde tracées par le Président Zine El Abidine Ben Ali pour la Tunisie pour en faire une référence de la pensée éclairée et un appui solide à la modernisation et à la promotion des sociétés arabes.
Le bilan de la période écoulée de la présidence distinguée de l'OFA par la Première Dame de Tunisie, une période relativement courte en comparaison aux efforts nécessaires pour l'oeuvre de changement social, est riche et diversifié, fort des progrès qui ont contribué de manière palpable à la consolidation des programmes de l'Organisation et au renforcement du leadership de la Tunisie en tant que capitale permanente de la femme, le symbole de l'authenticité et de l'engagement permanent pour les causes de justice et d'égalité des chances entre femmes et hommes.
Différentes propositions et initiatives marquées par le réalisme et l'efficacité sont intervenues pour refléter sincèrement le souci de préserver la dignité de la femme et de la protéger contre tous les aspects de l'exclusion ou de la marginalisation.
L'un des principaux résultats de la présidence tunisienne est la mise en place d'une stratégie arabe pour protéger la femme contre toutes les formes de violence et de discrimination et la publication d'un ouvrage de référence intitulé "La violence contre la femme entre l'agression de la réalité et la consécration des valeurs humanitaires".
Dans ce sens, une conférence arabe sur la "lutte contre la violence envers la femme, consécration des valeurs humanitaires" a été organisée, les 8 et 9 mars 2010, à Tunis, à l'occasion de la journée mondiale de la femme. Mme Leila Ben Ali a présidé l'ouverture des travaux en prononçant une allocution qui a eu un large écho à l'échelle régionale et internationale, avec un exposé courageux et des approches d'avant-garde, dans le domaine de la protection de la femme contre la violence et la discrimination.
D'autre part, la création de la commission de la femme arabe pour le droit humanitaire international, à l'occasion de la célébration de la journée de la femme arabe, le 1er février 2010, est la concrétisation de la proposition présentée par Mme Leila Ben Ali, devant le 2ème congrès de l'OFA, à Abou Dhabi (capitale des Emirats arabes unis), en novembre 2008. L'adoption de ce projet, au cours de la 4ème réunion du conseil supérieur de l'OFA à Tunis est la preuve éclatante de l'intérêt et de considération accordés à cette initiative.
Ce mécanisme, présidé par la Tunisie et dont la première réunion a été organisée à Tunis, reflète la conviction de la nécessité d'enraciner l'élan de solidarité entre les femmes arabes. Il montre, en outre, la conscience de la Tunisie que la promotion de la situation de la femme dans les sociétés arabes est une condition fondamentale pour la sécurité et la complémentarité entre les peuples arabes.
Par ailleurs, la présidence tunisienne de l'OFA a fait de la condition de la femme arabe, en particulier la femme palestinienne, dans les territoires arabes occupés, un point permanent dans l'ordre du jour de ses réunions. Cette initiative montre que la Tunisie est un soutien important pour toutes les femmes arabes qui font face à des difficultés, à la suite de l'occupation, et militent pour la liberté et la dignité.
Dans le cadre de son souci d'enrichir les activités de l'OFA et de lui apporter une dynamique qualitative, la Première Dame de Tunisie a proposé la création d'un observatoire des législations sociales et politiques afférentes à la femme. Elle a, en outre, appelé le conseil supérieur à élaborer un plan d'action opérationnel pour représenter la jeune fille arabe au congrès mondial de la jeunesse, prévu dans le cadre de la manifestation 2010 "année internationale de la jeunesse", proclamée sur initiative du Président Ben Ali.
La Tunisie abritera, fin octobre 2010, le 3eme congrès de l'OFA sur le thème «La femme arabe partenaire essentiel du processus de développement durable». Le thème du congrès, qui avait été proposé par la Première Dame de Tunisie, lors de la 4eme réunion du conseil supérieur de l'OFA, avait été adopté à l'unanimité le 25 juin 2009. Cette unanimité témoigne de la justesse de la vision prospective de la Tunisie concernant les questions de la femme arabe et reflète une profonde prise de conscience de sa place centrale dans les différents processus de développement.
Cette rencontre arabe sera, sans aucun doute, un rendez-vous important de par la portée stratégique des questions qui seront débattues et qui porteront sur la relation entre la promotion de la condition de la femme et les questions de développement intégral et durable dans les pays de la région arabe. Il s'agit aussi de l'expression d'un ferme attachement à dynamiser le rôle de la femme dans la vie économique, particulièrement, à la lumière des mutations internationales.
Ces différentes initiatives d'avant-garde de la Première Dame de Tunisie trouvent un solide appui dans le ferme engagement de la Tunisie à promouvoir la condition de la femme arabe et à raffermir son adhésion agissante à l'impulsion de l'action arabe commune. Cette approche prévoit la consolidation des potentialités de l'OFA, dans le cadre d'une approche globale du processus de réforme et de modernisation qui a fait de la Tunisie une oasis de la participation et de la démocratie et un creuset de la modernité et du progrès. L'approche tunisienne, qui offre une vision unique, a recueilli la considération des différentes instances internationales et s'est imposée comme un modèle et un succes story, source de fierté pour l'ensemble des Tunisiens et des Tunisiennes.
Madame Leila Ben Ali: " la femme tunisienne est l'incarnation de la femme consciente de la grandeur de sa mission"
Madame Leila Ben Ali, épouse du Président de la République, et Présidente de l'Organisation de la femme arabe, a signé l'éditorial du nouveau numéro du magazine "Femme", publié par l'Union Nationale de la Femme Tunisienne (UNFT), pour les mois de juin et juillet 2010, qui coïncide avec la célébration de la journée nationale de la Femme.
Dans cet éditorial, intitulé " la femme tunisienne est l'incarnation de la femme consciente de la grandeur de sa mission", Mme Leila Ben Ali souligne que la célébration de la Fête nationale de la Femme marque une étape importante dans l'histoire contemporaine de la Tunisie.
Elle constitue, ajoute-t-elle, un évènement national saillant que les Tunisiens et les Tunisiennes célèbrent chaque année se remémorant à cette occasion une page glorieuse de l'œuvre réformiste avant-gardiste nationale, qui confirme le souci de la Tunisie de défendre la dignité de la femme, de raffermir ses droits, d'enrichir ses acquis, en consolidation de son statut en tant que citoyenne à part entière, jouissant de la plénitude de ses droits et devoirs, au sein d'une société équilibrée et solidaire.
Madame Leila Ben Ali relève que tout observateur de l'œuvre de réforme et de modernisation menée en Tunisie depuis l'indépendance ne manquera pas de constater que l'émancipation de la femme et le pari engagé sur son instruction, restent à la base de son expérience marquante en matière de réforme sociale.
Elle souligne que cette expérience s'est toujours appuyée sur un effort généreux et une persévérance ininterrompue pour enraciner les valeurs de justice, d'équité et d'égalité entre les genres, réaffirmant la nécessité d'assurer l'édification de relations familiales et sociétales faites d'équilibre, d'harmonie et d'entente avec l'instauration d'une société ouverte sur son temps, une société où règnent les valeurs de démocratie, de pluralisme, de liberté et de respect des droits de l'Homme.
Elle a mis en exergue les initiatives prises depuis l'avènement du Changement du 7 novembre qui a consacré les acquis et droits de la femme, tout en maintenant les législations progressistes mises en place au profit de la femme par l'Etat depuis l'indépendance.
Mieux, il en a fait un choix fondamental irréversible et le socle de l'édifice social moderniste que la Tunisie est parvenue à instaurer et qui fait de la femme l'incarnation de la modernité de la société.
L'épouse du Président Ben Ali a souligné que l'Ere nouvelle, par fidélité à son patrimoine et par attachement à une vision moderniste qui croit en l'être humain, qu'il soit homme ou femme, n'a jamais eu de cesse d'enrichir les acquis de la femme. En témoignent les réformes profondes annoncées en 1992 et les amendements des textes de loi qui en ont découlé, dans le sens de la consécration du principe de l'égalité et de l'élimination de toute forme de discrimination contre la femme.
Elle a affirmé que l'initiative la plus emblématique en la matière et qui confirme avec force la volonté de consolider les acquis de la femme tunisienne a consisté à inscrire au niveau de la constitution, le code du statut personnel en tant que législation de référence pour les droits de la femme et ce, en consécration de son intangibilité, de l'obligation de respect de la loi et de la nécessité d'œuvrer à sa préservation contre tout risque de régression ou de remise en question. Madame Leila Ben Ali a précisé que cette initiative législative a été confortée par d'importants efforts en faveur de l'enracinement de la culture des droits de la femme, de la sensibilisation des plus larges pans possibles de la société à l'importance qu'il y a de protéger la femme et l'enfant.
Mme Leila Ben Ali a affirmé qu'au vu du statut appréciable qui est désormais celui de la femme tunisienne, on compte beaucoup, aujourd'hui, sur sa contribution à relever les défis de l'étape à venir qu'aborde la Tunisie en étant confortée par autant de réalisations qualitatives et d'acquis précieux qu'elle a accomplis en un peu plus de deux décennies. Elle y est parvenue, a-t-elle précisé, en s'appuyant sur une approche prospective pertinente et des objectifs de développement ambitieux énoncés par le programme présidentiel ''ensemble, relevons les défis'', véritable feuille de route pour gagner les enjeux de l'avenir et aller de l'avant sur la voie de l'accession de la Tunisie au rang des nations avancées.
Elle a exprimé la certitude que l'Union nationale de la femme tunisienne (UNFT), première organisation féminine du pays et la plus ancienne dans la société par son combat, son parcours et sa présence active, continuera à honorer sa noble mission sociale avec une détermination renouvelée, une abnégation constante et une vision évoluée, adoptant en cela une méthodologie faite de suivi vigilant , d'observation assidue des mutations intervenues dans notre société aux fins de les évaluer et de les mettre à profit dans ses programmes, activités et domaines d'intervention.
Elle a affirmé que L'UNFT a toujours fait montre d'une conscience profonde de la nature de la mission dont elle est porteuse, en particulier en cette étape de l'oeuvre de développement de la Tunisie, par les orientations et les programmes qu'elle a adoptés et qui sont en totale harmonie avec les priorités nationales en la matière, notamment l'intérêt plus grand témoigné à la femme rurale, la mise en oeuvre de programmes d'insertion au profit de la jeune fille rurale et le suivi de la condition des femmes d'un âge avancé, surtout de celles d'entre elles dépourvues de soutien familial.
L'épouse du président de la République a souligné que la femme tunisienne a prouvé son adhésion consciente et active à l'oeuvre de modernisation, d'édification, de reforme et d'ouverture sur le monde développé, ce qui a réuni les conditions favorables pour le succès de la présidence tunisienne de l'Organisation de la femme arabe.
Elle a indiqué que dans le cadre de sa présente présidence de l'organisation, elle a pris des initiatives afin de briser le mur du silence sur la discrimination et la violence que subit la femme et qui compromettent son émancipation, comme elle a tenu à soutenir tout effort international propre à enrichir ses droits et à améliorer sa condition.
L'organisation, a-t-elle ajouté, a proposé, dans ce contexte, maints mécanismes et programmes destinés à gagner des soutiens aux droits de la femme et à faire prendre conscience, aux plans national, arabe et international, des défis et enjeux considérables auxquels l'humanité est confrontée. Elle a plaidé pour des approches solidaires par leur essence, susceptibles de canaliser les processus de développement vers l'égalité entre les deux sexes, sans marginalisation ni exclusion ou discrimination.
Mme Leila Ben Ali a affirmé que la femme tunisienne demeurera l'incarnation même de la femme consciente de la noblesse de sa mission, déterminée à être partie prenante de la vie nationale et pleinement au fait de l'ampleur des enjeux et défis présents et qu'elle restera une des manifestations de l'image resplendissante de la Tunisie.
mercredi 18 août 2010
La femme tunisienne: Des indicateurs satisfaisants
L’éducation et l’enseignement de la femme ont été imposés par la législation tunisienne depuis l’indépendance. Depuis quelques décennies, les indicateurs ne cessent de s’améliorer, démontrant le progrès qu’enregistre la femme sur ce plan.
Le taux de scolarisation des filles à l’âge de six ans est actuellement de 100%. La femme compte 50% des élèves inscrits dans les établissements de l’enseignement secondaire et 60% des étudiants.
L’évolution de l’insertion professionnelle de la femme est traduite par des indicateurs fort significatifs. En effet, la femme tunisienne compte 27% de la population active. Elle a accédé à tous les secteurs économiques, motivée sans doute par la volonté mais aussi par des compétences perpétuellement confirmées. Dans le domaine industriel, la femme compte quasiment la moitié de l’effectif, soit 44%. Sa contribution dans le domaine agricole est de 23%. Le nombre des femmes chefs d’entreprises s’élève actuellement à 18 mille.
Pour ce qui est de la fonction publique, la femme occupe 25% des postes fonctionnels. Il y a également lieu de noter que les femmes représentent 40% des professeurs universitaires, 47% des chercheurs, le tiers des juges et des avocats et 42% du corps médical tunisien.
Convaincue de l’importance croissante qu’acquiert le tissu associatif dans une société moderne, la femme s’adonne au bénévolat contribuant ainsi à la dynamisation d’un domaine fondé sur l’esprit de solidarité. Elle compte, ainsi, 20% des responsables des ONGs et 42% du corps associatif.
Aujourd’hui, la promotion de l’implication de la femme dans la vie politique constitue une priorité majeure. L’un des objectifs fixés par le Président Ben Ali, notamment dans le cadre de son programme pour la période 2009/2014, est de hisser la place de la femme dans les postes de décisions à 35% à l’horizon 2014 contre 30% actuellement. La place de la femme dans la chambre des députés est passée de 7,4% en 1994 à 27,57% actuellement. Les femmes représentent 19% de la chambre des conseillers, et 50 % du parlement des jeunes, 26% du conseil constitutionnel, 22,8% du conseil économique, ainsi que 37,9% du comité central du RCD. En 1995, la présence féminine dans les conseils municipaux n’était que de 16%. Actuellement, ce taux est passé à 32,7%.
Le taux de scolarisation des filles à l’âge de six ans est actuellement de 100%. La femme compte 50% des élèves inscrits dans les établissements de l’enseignement secondaire et 60% des étudiants.
L’évolution de l’insertion professionnelle de la femme est traduite par des indicateurs fort significatifs. En effet, la femme tunisienne compte 27% de la population active. Elle a accédé à tous les secteurs économiques, motivée sans doute par la volonté mais aussi par des compétences perpétuellement confirmées. Dans le domaine industriel, la femme compte quasiment la moitié de l’effectif, soit 44%. Sa contribution dans le domaine agricole est de 23%. Le nombre des femmes chefs d’entreprises s’élève actuellement à 18 mille.
Pour ce qui est de la fonction publique, la femme occupe 25% des postes fonctionnels. Il y a également lieu de noter que les femmes représentent 40% des professeurs universitaires, 47% des chercheurs, le tiers des juges et des avocats et 42% du corps médical tunisien.
Convaincue de l’importance croissante qu’acquiert le tissu associatif dans une société moderne, la femme s’adonne au bénévolat contribuant ainsi à la dynamisation d’un domaine fondé sur l’esprit de solidarité. Elle compte, ainsi, 20% des responsables des ONGs et 42% du corps associatif.
Aujourd’hui, la promotion de l’implication de la femme dans la vie politique constitue une priorité majeure. L’un des objectifs fixés par le Président Ben Ali, notamment dans le cadre de son programme pour la période 2009/2014, est de hisser la place de la femme dans les postes de décisions à 35% à l’horizon 2014 contre 30% actuellement. La place de la femme dans la chambre des députés est passée de 7,4% en 1994 à 27,57% actuellement. Les femmes représentent 19% de la chambre des conseillers, et 50 % du parlement des jeunes, 26% du conseil constitutionnel, 22,8% du conseil économique, ainsi que 37,9% du comité central du RCD. En 1995, la présence féminine dans les conseils municipaux n’était que de 16%. Actuellement, ce taux est passé à 32,7%.
La femme tunisienne; un partenaire à part entière
La condition favorable dont jouit la femme tunisienne se traduit, entre autres, par ses acquis sociaux et l’assise juridique de son statut. Outre le partenariat et la co-responsabilité au niveau du couple tunisien, la femme tunisienne dispose de prérogatives parentales plus valorisantes.
Le Code de la nationalité et le Code pénal ont fait eux aussi l’objet d’amendements afin de consolider les principes de l’égalité et de non-discrimination entre l’homme et la femme mais également de renforcer la protection de cette dernière. A titre d’exemple, battre une femme est susceptible de poursuite pénale, ce qui s’inscrit dans le droit fil des réformes du Code du statut personnel et du Code pénal visant à garantir le droit à la dignité et à l’intégrité de la femme et à la protéger contre toute forme d’agression morale et physique.
Avec le temps et les réformes successives, une nouvelle mentalité s’est installée imposant une nouvelle réalité à laquelle les Tunisiens se sont adaptés. Dans la société tunisienne, la femme est un être actif loin de jouer un simple rôle de figuration.
L'expérience tunisienne est devenue un modèle en matière de promotion de la femme. Le rôle primordial des efforts accomplis par l'Etat dans les domaines de la protection de la femme, le renforcement de ses droits et la préservation de ses acquis mérite d'être applaudi.
Le Code de la nationalité et le Code pénal ont fait eux aussi l’objet d’amendements afin de consolider les principes de l’égalité et de non-discrimination entre l’homme et la femme mais également de renforcer la protection de cette dernière. A titre d’exemple, battre une femme est susceptible de poursuite pénale, ce qui s’inscrit dans le droit fil des réformes du Code du statut personnel et du Code pénal visant à garantir le droit à la dignité et à l’intégrité de la femme et à la protéger contre toute forme d’agression morale et physique.
Avec le temps et les réformes successives, une nouvelle mentalité s’est installée imposant une nouvelle réalité à laquelle les Tunisiens se sont adaptés. Dans la société tunisienne, la femme est un être actif loin de jouer un simple rôle de figuration.
L'expérience tunisienne est devenue un modèle en matière de promotion de la femme. Le rôle primordial des efforts accomplis par l'Etat dans les domaines de la protection de la femme, le renforcement de ses droits et la préservation de ses acquis mérite d'être applaudi.
السنة الدولية للشباب نموذج لمبادرات رائدة
يلمس المتابع لسياسة تونس منذ الاستقلال ومرورا بالتغيير وجود إرادة سياسية عليا مصرّة على كسب رهان النهوض بالموارد البشرية بدءا بكسب ورقة الشباب في زمن كثرت فيه عالميا مؤشرات الفشل في التعاطي مع قضايا الشباب ومشاغله.. مثلما تعكسه النسب الهائلة للشباب الذي يحاول الانتحار أو يتورط في الجريمة المنظمة..أو ينخرط في سلوكيات تبرر الشذوذ والانحراف والتطرف بأنواعه، فضلا عن ارتفاع نسب الإخفاق في الدراسة وفي الحياة الأسرية.
وما الإجماع الاممي والدولي حول مبادرة رئيس الدولة بجعل سنة 2010 سنة دولية للشباب إلاّ دليل على تقدير إقليمي ودولي لنجاحات المقاربة السياسية الوطنية في مجال التعاطي مع الملفات الشبابية.
وتمثل السنة الدولية للشباب- التي ستتواصل فعالياتها إلى غاية 11 أوت 2011 تحت شعار "الحوار والتفاهم المتبادل"- مناسبة لدعم خيار تونس على تجذير القيم الكونية النبيلة وإشاعة مبادئ المشاركة لدى الأجيال الجديدة وإعلاء قيم التسامح والوسطية واحترام الآخر ونبذ العنف وكافة أنواع التطرف.
والملاحظ في هذا السياق أن استفحال مؤشرات الفشل التربوي والاجتماعي والاقتصادي على المستوى العالمي انعكس خاصة على الشباب، مثلما تكشفه تقارير جل المؤسسات الاممية والدولية التي تتابع منذ مدة بانشغال نزوع تيار من الأجيال الصاعدة إلى "الحلول السهلة" والبحث عن "الربح السريع بكل الوسائل" مما تسبب في سقوط ملايين من شباب العالم في كمائن عصابات الانحراف والجريمة المنظمة والعنف والارهاب والتطرف.
وفي هذا الإطار، يجد المجتمع الدولي نفسه في هذه السنة الدولية للشباب مطالبا بصياغة ميثاق حضاري تشترك من خلاله كل الشعوب والثقافات في إعادة رسم ملامح علاقات مئات الملايين من شباب العالم ببعضه والبناء المشترك لمستقبل الانسانية بما يضمن وضع أسس غد افضل للبشرية جمعاء.
إن فعاليات هذه السنة الدولية للشباب ستؤكد ـ وطنيا وعالميا ـ على قيم الانفتاح وعلى اعتماد الحوار كمنهج أساسي في التعامل مع الشباب وتشريكه في كل القضايا المطروحة وطنيا ودوليا وفي مقدمتها الأهداف الإنمائية للألفية الثالثة..التي تؤكد كل المعطيات أن تحقيقها عام 2015 بات شبه مستحيل لعدة أسباب من بينها عدم احترام كثير من البلدان الغنية لتعهداتها المالية وكثير من البلدان الفقيرة لالتزاماتها بتحسين التصرف في مواردها البشرية والمالية وفي الموارد التي تصرف إليها من قبل الصناديق والمؤسسات التنموية الاممية والدولية.
فمزيدا من الحوار التلقائي والصادق مع الشباب من مختلف الفئات..ومزيدا من الإصغاء لمشاغله التفهم لحاجياته ومقترحاته لكسب التحديات التي تواجه حاضر البشرية ومستقبلها ضمن عقلية تتطلع إلى البناء وليس إلى الهدم ..إلى دعم قيم التسامح والانفتاح والاعتدال والحوار وليس إلى الانغلاق والتطرف والتعصب.
وما الإجماع الاممي والدولي حول مبادرة رئيس الدولة بجعل سنة 2010 سنة دولية للشباب إلاّ دليل على تقدير إقليمي ودولي لنجاحات المقاربة السياسية الوطنية في مجال التعاطي مع الملفات الشبابية.
وتمثل السنة الدولية للشباب- التي ستتواصل فعالياتها إلى غاية 11 أوت 2011 تحت شعار "الحوار والتفاهم المتبادل"- مناسبة لدعم خيار تونس على تجذير القيم الكونية النبيلة وإشاعة مبادئ المشاركة لدى الأجيال الجديدة وإعلاء قيم التسامح والوسطية واحترام الآخر ونبذ العنف وكافة أنواع التطرف.
والملاحظ في هذا السياق أن استفحال مؤشرات الفشل التربوي والاجتماعي والاقتصادي على المستوى العالمي انعكس خاصة على الشباب، مثلما تكشفه تقارير جل المؤسسات الاممية والدولية التي تتابع منذ مدة بانشغال نزوع تيار من الأجيال الصاعدة إلى "الحلول السهلة" والبحث عن "الربح السريع بكل الوسائل" مما تسبب في سقوط ملايين من شباب العالم في كمائن عصابات الانحراف والجريمة المنظمة والعنف والارهاب والتطرف.
وفي هذا الإطار، يجد المجتمع الدولي نفسه في هذه السنة الدولية للشباب مطالبا بصياغة ميثاق حضاري تشترك من خلاله كل الشعوب والثقافات في إعادة رسم ملامح علاقات مئات الملايين من شباب العالم ببعضه والبناء المشترك لمستقبل الانسانية بما يضمن وضع أسس غد افضل للبشرية جمعاء.
إن فعاليات هذه السنة الدولية للشباب ستؤكد ـ وطنيا وعالميا ـ على قيم الانفتاح وعلى اعتماد الحوار كمنهج أساسي في التعامل مع الشباب وتشريكه في كل القضايا المطروحة وطنيا ودوليا وفي مقدمتها الأهداف الإنمائية للألفية الثالثة..التي تؤكد كل المعطيات أن تحقيقها عام 2015 بات شبه مستحيل لعدة أسباب من بينها عدم احترام كثير من البلدان الغنية لتعهداتها المالية وكثير من البلدان الفقيرة لالتزاماتها بتحسين التصرف في مواردها البشرية والمالية وفي الموارد التي تصرف إليها من قبل الصناديق والمؤسسات التنموية الاممية والدولية.
فمزيدا من الحوار التلقائي والصادق مع الشباب من مختلف الفئات..ومزيدا من الإصغاء لمشاغله التفهم لحاجياته ومقترحاته لكسب التحديات التي تواجه حاضر البشرية ومستقبلها ضمن عقلية تتطلع إلى البناء وليس إلى الهدم ..إلى دعم قيم التسامح والانفتاح والاعتدال والحوار وليس إلى الانغلاق والتطرف والتعصب.
mardi 10 août 2010
تونس إشعاع وتألق
التنمية المتضامنة والشراكة ومناصرة القضايا العادلة والاحتكام إلى الشرعية الدولية والحوار والاعتدال والوفاق وعدم التدخل في شؤون الغير من مميزات الدبلوماسية التونسية وقد برهنت عديد الأحداث والتطورات في العالم مدى صواب اختيارات تونس في التفاعل مع محيطها متعدد الزوايا المغاربي والعربي والمتوسطي إضافة إلى بقية أبعاد تلك الدبلوماسية. وقد جدد الرئيس زين العابدين بن علي لدى إشرافه على اختتام الندوة السنوية لرؤساء البعثات الدبلوماسية والقنصلية في أوت 2010 التأكيد على أسس وأهداف دبلوماسية تونس في سياق ما يشهده العالم من تحوّلات متسارعة وتحديات متعددة وما يتعين استشرافه من آفاق للمضي قدما بالمشروع المجتمعي الذي ينجز في تونس منذ التحول.
ولاشك أن ما أكده رئيس الدولة بخصوص تمسك تونس بمصالحها العليا واستقلالية قرارها والحفاظ على اختياراتها يجسم تقليدا تونسيا في التفاعل مع المحيط الدولي لأنه يستند إلى الإرادة الدائمة لصيانة استقلال بلادنا ورفض أي شكل للمساس منه تحت أية تعلة كانت.
فتونس المستقلة لا تتدخل في شؤون الغير وبالتالي ترفض انطلاقا من حرص قيادتها على حماية سيادتها من التدخل في شؤونها وفي ما ارتضاه شعبها من اختيارات بكل أبعادها التنموية والسياسية والاجتماعية والثقافية التي تتماشى مع القيم الكونية والقوانين والمعاهدات الدولية لأن اختيارات تستند إلى تكريس حقوق الإنسان واعتبارها كلا لا يتجزأ وتوخي الاعتدال والتسامح ونبذ كل مظاهر التطرف والإقصاء والعنف تمثل قاسما مشتركا مع الديمقراطيات العريقة في العالم.
وبالتالي فإن بلدا يعمل ويصلح وينجز وتشهد الهيئات الدولية والإقليمية بانجازاته لا يمكنه إلا أن يكون موضع احترام وتقدير وهذا ما يتعين على الدبلوماسية التونسية الحفاظ عليه والعمل من أجل المزيد والأفضل سواء بخصوص تدعيم الأسواق الحالية أو البحث عن مجالات جديدة للتعاون سواء في شكل مبادلات تجارية أو شراكة في مشاريع مع بلدان عديدة في مختلف القارات.
وما تتمتع به تونس من سمعة طيبة في المحافل والهيئات الدولية كفيل بالمساعدة على فتح مجالات جديدة للتعاون مع بلدان شقيقة وصديقة بما يدعم الاقتصاد التونسي سواء من ناحية الاستثمار أو الانتاج أو التصدير .
لقد برهنت الدبلوماسية التونسية بثوابتها على كونها عنصرا فعالا في المساعدة على دفع التنمية وتوفير كل ما يمكن من مقومات النجاح لها بما يمكن تونس من مكانة معتبرة في المجتمع الدولي خاصة في سياق صحة الرؤية التونسية في رفض الإرهاب والتطرف والعنف وفي نفس الوقت تمسكها باستقلالية قرارها والمحافظة على استقرارها في عالم تنشد مناطق عديدة فيه الاستقرار والأمن..
ولاشك أن ما أكده رئيس الدولة بخصوص تمسك تونس بمصالحها العليا واستقلالية قرارها والحفاظ على اختياراتها يجسم تقليدا تونسيا في التفاعل مع المحيط الدولي لأنه يستند إلى الإرادة الدائمة لصيانة استقلال بلادنا ورفض أي شكل للمساس منه تحت أية تعلة كانت.
فتونس المستقلة لا تتدخل في شؤون الغير وبالتالي ترفض انطلاقا من حرص قيادتها على حماية سيادتها من التدخل في شؤونها وفي ما ارتضاه شعبها من اختيارات بكل أبعادها التنموية والسياسية والاجتماعية والثقافية التي تتماشى مع القيم الكونية والقوانين والمعاهدات الدولية لأن اختيارات تستند إلى تكريس حقوق الإنسان واعتبارها كلا لا يتجزأ وتوخي الاعتدال والتسامح ونبذ كل مظاهر التطرف والإقصاء والعنف تمثل قاسما مشتركا مع الديمقراطيات العريقة في العالم.
وبالتالي فإن بلدا يعمل ويصلح وينجز وتشهد الهيئات الدولية والإقليمية بانجازاته لا يمكنه إلا أن يكون موضع احترام وتقدير وهذا ما يتعين على الدبلوماسية التونسية الحفاظ عليه والعمل من أجل المزيد والأفضل سواء بخصوص تدعيم الأسواق الحالية أو البحث عن مجالات جديدة للتعاون سواء في شكل مبادلات تجارية أو شراكة في مشاريع مع بلدان عديدة في مختلف القارات.
وما تتمتع به تونس من سمعة طيبة في المحافل والهيئات الدولية كفيل بالمساعدة على فتح مجالات جديدة للتعاون مع بلدان شقيقة وصديقة بما يدعم الاقتصاد التونسي سواء من ناحية الاستثمار أو الانتاج أو التصدير .
لقد برهنت الدبلوماسية التونسية بثوابتها على كونها عنصرا فعالا في المساعدة على دفع التنمية وتوفير كل ما يمكن من مقومات النجاح لها بما يمكن تونس من مكانة معتبرة في المجتمع الدولي خاصة في سياق صحة الرؤية التونسية في رفض الإرهاب والتطرف والعنف وفي نفس الوقت تمسكها باستقلالية قرارها والمحافظة على استقرارها في عالم تنشد مناطق عديدة فيه الاستقرار والأمن..
vendredi 6 août 2010
المجتمع التونسي والتحوّلات الثقافية الجديدة
عاشت البشرية في مسار تطورها الطبيعي منذ نشأة الانسان تحولات جوهرية لم تكف ديناميكية التاريخ عن انتاجها ولن تتوقف عن احداث الجديد منها، لذلك فان ما شهدته البشرية من تغيرات عميقة منذ نهاية الثمانينات يندرج حتما في هذا السياق رغم ما صاحبه من تغيير في انماط العمل ووسائل الانتاج وحلول عصر التكنلوجيا والذكاء الاصطناعي والثورة الرقمية ومجتمع المعلومات في ظرف زماني وجيز وبزخم هائل.
وقد تأسست كل مراحل تطور البشرية على مرجعية اقتصادية وسياسية شكلت سببا مباشرا او غير مباشر لتحولات ثقافية كانت نتيجة لها فافرزت بدورها تحولات في السلوك الاجتماعي والذهنية العامة.
اما اليوم فان العالم يشهد تحولات ثقافية جديدة مغايرة مصدرها المباشر هو الثقافة ونتيجتها المباشرة سياسية واقتصادية واجتماعية مبرمجة.
وتكمن الجدة في ان التحولات الثقافية التي كانت نتيجة لسبب اقتصادي سياسي اصبحت اليوم سببا لنتيجة اقتصادية وسياسية واجتماعية.
فالتحولات الجديدة تتأسس على رؤى وتصورات ثقافية غايتها البناء لثقافة جديدة معولمة ذات ابعاد سياسية واقتصادية واجتماعية كونية جعلت من هذه التحولات مصدر مفاجأة لكل المجتمعات، وكانت المفاجأة ذاتها فعلا ثقافيا اربك الجميع بما في ذلك المجتمعات المتقدمة فكريا وماديا وعلميا.
احدثت التحولات الثقافية الجديدة ارتجاجا في كل المجتمعات التي تفتقر الى مقومات المواكبة والصمود حيث طالت رياح التغيير المتسارع بنية العقل والتركيبة الاجتماعية للدول والشعوب فغيرت مفهوم الدولة والمجتمع والسلطة والسيادة والوطن. عصفت بقيم الشعوب وتقاليدها وانماط استهلاكها وطبيعة العلاقات بين افرادها ومكوناتها وهي بصدد اعادة صياغة تصور جديد للارث الثقافي الانساني ولمقومات الحضارة البشرية.
ولم يبق في منأى عن الهزات التي شهدتها كل انحاء المعمورة الا النزر القليل من دول العالم :
ـ إما لقوة اقتصادية وعسكرية قادرة على درء مخاطر التحولات الثقافية الجديدة لان هذه القوة توازيها وتدعمها وتغذيها قوة ومناعة ثقافية وحضارية.
ـ وإما لان مكونات الثقافة لدى هذه القوى الاقتصادية والعسكرية صناعة تنزلت تاريخيا في النسق الاقتصادي وانصهرت فيه ولم تعد تدرج في سلم القيم الثقافية وشروط الابداع المألوفة لدى الشعوب والحضارات الاخرى وبالتالي فهي غير قابلة للتأثر بالتحولات الثقافية الجديدة لانها من صنعها.
اما المجتمع التونسي فانه يتميز مع شعوب ودول اخرى قليلة في العالم بخصوصيات تشكل مصدرا لمناعة ذاتية تجعله لا ينتمي الى الصنفين من الدول السابقتي الذكر وتمكنه مع ذلك من القدرة على مواجهة التحولات الثقافية الجديدة بالتكيف والاستيعاب والتفاعل التلقائي.
وتدعيما لخصوصية المجتمع التونسي فيما يشكل مصدر قدرة لديه على التفاعل مع التحولات الثقافية الجديدة وضع سيادة الرئيس زين العابدين بن علي اسس مستقبل الثقافة في تونس وفق استراتيجيا ثلاثية التصور:
ـ صياغة مشروع مجتمعي يكتمل فيه السياسي مع الاقتصادي والاجتماعي والثقافي وفق شروط التحول الجديد القائم على التداخل والتفاعل.
ـ صون الارث الثقافي والحضاري للمجتمع والوفاء لأعلام الثقافة ورواد الاصلاح في بلادنا.
ـ مواصلة السير في المنهج الحداثي الذي يشكل مقوما رئيسيا للشخصية التونسية وعاملا مساعدا على صون الهوية الوطنية المنفتحة على الكونية.
وفي ذات الوقت عمل سيادة الرئيس منذ تغيير السابع من نوفمبر 1987 على تامين الشروط المؤسسة لحداثة تحمل في ذاتها مقومات استمرارها بالانصهار في الفضاء الاتصالي المعولم وبناء جسور التواصل الانساني عبر حوار الحضارات والاديان والثقافات ونشر ثقافة الديمقراطية وحقوق الانسان.
ولم يكفّ سيادته عن توجيه الدعوة الى المثقفين والمبدعين واهل الفكر للاضطلاع بدورهم الطلائعي في المجتمع وانارة العقول بابداعاتهم وابحاثهم ودراساتهم وتحاليلهم والمساهمة في استشراف المستقبل والارتقاء بآدابنا وفنوننا وانتاجنا العلمي الى العالمية حتى تسجل تونس حضورها في التحولات الثقافية الجديدة بالتاثير في مجرى هذه التحولات والتفاعل مع آثارها.
ويقول سيادة الرئيس في هذا الصدد: "وقد كنا سباقين في استشراف المستقبل ورسم معالم غدنا على اسس راعينا فيها خصوصيات بلادنا وفسحنا مجال المشاركة امام الجميع وفي مقدمتهم اهل الفكر والابداع واثقين بقدرتهم على النفاذ الى عمق المستجدات واستيعاب التحولات والتغيرات ونحن نعتقد ان للمثقفين والمكفرين والاعلاميين دورا كبيرا في المساهمة في ضبط ملامح الغد وتحديد المسالك المفضية الى التقدم وتخطي المراحل الحاسمة في مسار التطور البشري".
واعتمد سيادة الرئيس في تصوره هذا مبدأ تجذير مقومات الخصوصية التونسية وتثبيت مكوناتها بالإحياء والإثراء الدائمين عبر قيم اساسية هي التفتح والتسامح والتضامن حتى تظل تونس فضاء للقاء وأرضا للتلاقح والتفاعل بين الثقافات والحضارات مثالا للتعايش بين الاديان والشعوب والحضارات تشع على العالم وتشيع قيم السلم والامن والتعاون بين الامم تنبذ العنف والتطرف والمغالاة وتدعو الى العقلانية والاعتدال.
ومنذ ان اعتبر سيادة الرئيس الثقافة سندا للتغيير ومكنها من كل شروط الاضطلاع بهذا الدور فانه جعل من المجتمع التونسي قوة دفع في اتجاه مواكبة التحولات الثقافية الجديدة في العالم والانصهار فيها بانتاج مقومات الفعل والتفاعل الخلاق.
mercredi 21 juillet 2010
برلمان الشباب في تونس...تفرّد تجربة ديمقراطية
إذا كانت هنالك فئة أو شريحة تحظى بمكانة متميزة ضمن اهتمامات الدولة التونسية على مستوى الرهان على رفع تحديات المستقبل فهي الشباب. ذلك أن السلطة تفرد الشباب التونسي بعناية ورعاية خاصتين، فكان دوما في قلب سياساتها ومحورا أساسيا ومشغلا رئيسيا من مشاغل العمل الحكومي.
وفي تأكيد لهذا المنحى، يوجه القسط الأهم من التحويلات الاجتماعية، التي تمثل سنويا حوالي 50 بالمائة من ميزانية الدولة، لفائدة الشباب، في قطاعات التربية والتكوين والتشغيل والتكنولوجيات الحديثة للاتصال والرياضة والصحة. كما أن هذه الشريحة من المجتمع تستفيد مباشرة أو بصورة غير مباشرة بقسط يناهز 80 بالمائة من برامج التنمية في تونس.
ومافتئ الرئيس بن علي يعمل على توفير أرضية فكرية وسياسية ليتبوأ الشباب موقعا استراتيجيا ويرتقي إلى مرتبة الأولوية، من خلال إيجاد الوسائل المستحدثة لتعزيز دوره في المجتمع، وتجنيبه حالات التهميش والإقصاء، بل والانتقال به إلى موقع المشاركة وتحقيق الذات ضمن مقاربة التنمية الشاملة. وفي هذا السياق، تعزز موقع قطاع الشباب في المنوال التنموي الوطني وارتقى إلى مصاف القطاعات الاستراتيجية وإلى مرتبة الرهان الحضاري الشامل الذي تتضافر جهود مختلف الهياكل العمومية والجمعياتية لرفعه. وتميزت هذه المقاربة بالشمول والواقعية، فضلا عن الطموح والجرأة، وهي سمات تجلت في مختلف أوجه تفاعل المجموعة الوطنية مع الشأن الشبابي وجسمتها المخططات والبرامج المنجزة في مختلف القطاعات.
إن تونس تتعامل مع شبابها كفئة مسؤولة قادرة على المشاركة في مسيرة البناء والتحديث، وهو ما أضفى أبعادا حضارية عميقة على موقع الشباب في حركة المجتمع، سواء المستوى السياسي والاقتصادي والاجتماعي والثقافي. وحرصت من هذا المنطلق، على تهيئة الأرضية الملائمة حتى يكرس الشباب اهتمامه بالشأن العام، وينخرط في أنشطته ويجسم في تفكيره وسلوكه قيم التطوع والحوار والإضافة التي تربّى عليا في الأسرة والمدرسة والمجتمع.
وحرصت القيادة التونسية، في إطار تجسيم خيارها الاستراتيجي في مجال الإحاطة بالشباب، على تشريك المجموعة الدولية في تعزيز هذا التوجه وإثرائه، وذلك من خلال دعوة الرئيـس بن علي إلى وضع سنة 2010 تحت شعار «السنة الدولية للشباب»، واقتراحه بأن يعقد خلالها مؤتمر عالمي للشباب بإشراف منظمة الأمم المتحدة وبالتعاون مع المنظمات الدولية المعنية، يحضره الشباب من كل أنحاء العالم، ويشفع بإصدار ميثاق دولي، يكون هو الرابطة التي تشد شباب العالم إلى القيم الكونية المشتركة، ويعبّرون فيه عن آمالهم في رفع تحديات التنمية المستديمة وعن تطلعاتهم وتوقهم إلى استشراف مستقبل أفضل. وقد حظيت هذه المبادرة بدورها بمصادقة الجمعية العامة للأمم المتحدة بالإجماع وذلك يوم 18 ديسمبر 2009.
ويلحظ المتابعون للشأن التونسي المكانة المتميزة التي يحظى بها شباب تونس ضمن سائر الهياكل والمؤسسات الاستشارية الوطنية التي تعنى بشتى أوجه التنمية على غرار المجالس العليا القطاعية التي يحظى الشباب في نطاقها بالتمثيل ولاسيما منها المجلس الأعلى للشباب، والمجلس الأعلى للرياضة، لتكون مشاغله وتطلعاته حاضرة ضمن التوجهات والتوصيات التي تصدر عنها، والتي تشكل الأساس الذي تنبني عليه البرامج والمشاريع التنموية التي تسهر الحكومة على إعدادها وتنفيذها. كما حظي الشباب بإجراءات وتدابير تهدف إلى تعزيز مشاركته في اتخاذ القرار وتنمية روح المسؤولية لديه وإدماجه في الحياة العامة، ومنها القرار القاضي بالتخفيض في سن الترشح لعضوية مجلس النواب والمجالس البلدية إلى 23 سنة وفي سن الانتخاب من 20 إلى 18 سنة.
ودعما لمزيد تشريك الشباب التونسي في الحياة السياسية، أقرت النقطة الخامسة من البرنامج الرئاسي الانتخابي 2009 ـ 2014 «معا لرفع التحديات» إحداث «برلمان للشباب» يكون هيئة استشارية ليس لها اختصاص تشريعي، تهدف بالخصوص إلى تعميق الوعي بالانتماء إلى الوطن لدى الشباب، وإعدادهم للمشاركة السياسية، وتطوير قدراتهم واهتمامهم بالشأن العام، وتدريبهم على التفكير الجماعي وتنمية الشعور بأن الحريات والحقوق تمارس في نطاق احترام القانون والقيم الدستورية.
إن برلمان الشباب يمثل فضاء لإعداد الشباب للمشاركة السياسية وتطوير قدراتهم واهتماماتهم بالشأن العام، من خلال تناول القضايا المجتمعية الراهنة والمستقبلية، وتدريبهم على التفكير الجماعي والحوار من خلال محاكاة العمل البرلماني. وستكون الجلسة الافتتاحية لهذا البرلمان يوم 25 جويلية الجاري تزامنا مع الاحتفال بعيد الجمهورية، وهو تزامن الهدف منه مزيد ترسيخ قيم الجمهورية في نفوس الشباب ليحافظوا على مكاسب البلاد ويعزّزوها.
وفي تأكيد لهذا المنحى، يوجه القسط الأهم من التحويلات الاجتماعية، التي تمثل سنويا حوالي 50 بالمائة من ميزانية الدولة، لفائدة الشباب، في قطاعات التربية والتكوين والتشغيل والتكنولوجيات الحديثة للاتصال والرياضة والصحة. كما أن هذه الشريحة من المجتمع تستفيد مباشرة أو بصورة غير مباشرة بقسط يناهز 80 بالمائة من برامج التنمية في تونس.
ومافتئ الرئيس بن علي يعمل على توفير أرضية فكرية وسياسية ليتبوأ الشباب موقعا استراتيجيا ويرتقي إلى مرتبة الأولوية، من خلال إيجاد الوسائل المستحدثة لتعزيز دوره في المجتمع، وتجنيبه حالات التهميش والإقصاء، بل والانتقال به إلى موقع المشاركة وتحقيق الذات ضمن مقاربة التنمية الشاملة. وفي هذا السياق، تعزز موقع قطاع الشباب في المنوال التنموي الوطني وارتقى إلى مصاف القطاعات الاستراتيجية وإلى مرتبة الرهان الحضاري الشامل الذي تتضافر جهود مختلف الهياكل العمومية والجمعياتية لرفعه. وتميزت هذه المقاربة بالشمول والواقعية، فضلا عن الطموح والجرأة، وهي سمات تجلت في مختلف أوجه تفاعل المجموعة الوطنية مع الشأن الشبابي وجسمتها المخططات والبرامج المنجزة في مختلف القطاعات.
إن تونس تتعامل مع شبابها كفئة مسؤولة قادرة على المشاركة في مسيرة البناء والتحديث، وهو ما أضفى أبعادا حضارية عميقة على موقع الشباب في حركة المجتمع، سواء المستوى السياسي والاقتصادي والاجتماعي والثقافي. وحرصت من هذا المنطلق، على تهيئة الأرضية الملائمة حتى يكرس الشباب اهتمامه بالشأن العام، وينخرط في أنشطته ويجسم في تفكيره وسلوكه قيم التطوع والحوار والإضافة التي تربّى عليا في الأسرة والمدرسة والمجتمع.
وحرصت القيادة التونسية، في إطار تجسيم خيارها الاستراتيجي في مجال الإحاطة بالشباب، على تشريك المجموعة الدولية في تعزيز هذا التوجه وإثرائه، وذلك من خلال دعوة الرئيـس بن علي إلى وضع سنة 2010 تحت شعار «السنة الدولية للشباب»، واقتراحه بأن يعقد خلالها مؤتمر عالمي للشباب بإشراف منظمة الأمم المتحدة وبالتعاون مع المنظمات الدولية المعنية، يحضره الشباب من كل أنحاء العالم، ويشفع بإصدار ميثاق دولي، يكون هو الرابطة التي تشد شباب العالم إلى القيم الكونية المشتركة، ويعبّرون فيه عن آمالهم في رفع تحديات التنمية المستديمة وعن تطلعاتهم وتوقهم إلى استشراف مستقبل أفضل. وقد حظيت هذه المبادرة بدورها بمصادقة الجمعية العامة للأمم المتحدة بالإجماع وذلك يوم 18 ديسمبر 2009.
ويلحظ المتابعون للشأن التونسي المكانة المتميزة التي يحظى بها شباب تونس ضمن سائر الهياكل والمؤسسات الاستشارية الوطنية التي تعنى بشتى أوجه التنمية على غرار المجالس العليا القطاعية التي يحظى الشباب في نطاقها بالتمثيل ولاسيما منها المجلس الأعلى للشباب، والمجلس الأعلى للرياضة، لتكون مشاغله وتطلعاته حاضرة ضمن التوجهات والتوصيات التي تصدر عنها، والتي تشكل الأساس الذي تنبني عليه البرامج والمشاريع التنموية التي تسهر الحكومة على إعدادها وتنفيذها. كما حظي الشباب بإجراءات وتدابير تهدف إلى تعزيز مشاركته في اتخاذ القرار وتنمية روح المسؤولية لديه وإدماجه في الحياة العامة، ومنها القرار القاضي بالتخفيض في سن الترشح لعضوية مجلس النواب والمجالس البلدية إلى 23 سنة وفي سن الانتخاب من 20 إلى 18 سنة.
ودعما لمزيد تشريك الشباب التونسي في الحياة السياسية، أقرت النقطة الخامسة من البرنامج الرئاسي الانتخابي 2009 ـ 2014 «معا لرفع التحديات» إحداث «برلمان للشباب» يكون هيئة استشارية ليس لها اختصاص تشريعي، تهدف بالخصوص إلى تعميق الوعي بالانتماء إلى الوطن لدى الشباب، وإعدادهم للمشاركة السياسية، وتطوير قدراتهم واهتمامهم بالشأن العام، وتدريبهم على التفكير الجماعي وتنمية الشعور بأن الحريات والحقوق تمارس في نطاق احترام القانون والقيم الدستورية.
إن برلمان الشباب يمثل فضاء لإعداد الشباب للمشاركة السياسية وتطوير قدراتهم واهتماماتهم بالشأن العام، من خلال تناول القضايا المجتمعية الراهنة والمستقبلية، وتدريبهم على التفكير الجماعي والحوار من خلال محاكاة العمل البرلماني. وستكون الجلسة الافتتاحية لهذا البرلمان يوم 25 جويلية الجاري تزامنا مع الاحتفال بعيد الجمهورية، وهو تزامن الهدف منه مزيد ترسيخ قيم الجمهورية في نفوس الشباب ليحافظوا على مكاسب البلاد ويعزّزوها.
mardi 13 juillet 2010
Du « takfir » et de la censure chez les islamistes
Revenant sur « la longue liste de la censure au nom de l’Islam de 1925 à nos jours », une étude réalisée par l’hebdomadaire Réalités montre que « de la philosophie au cinéma en passant par la littérature et les arts, aucun genre n’a été épargné », qu’ « aucune violence aussi. » « De l’interdiction d’une œuvre à la condamnation à mort d’un penseur on aura vu, en terre d’Islam, toutes les horreurs de l’obscurantisme ». Où commence la censure ? On peut citer fatwas et exclusions, mais pas seulement, car on en oublie le terreau dont se nourrit la censure. Il existe un archipel de la répression contre la liberté de l’imaginaire et de l’art. Il ne s’agit pas seulement de la défense d’un droit d’expression, car c’est l’espace même de la liberté que le dogmatisme des islamistes ne cesse de menacer. Il n’y a pas de société libre sans rêve, sans imagination ni sans création.
De même, la violence exercée par l’usage fasciste du « takfir » et de la censure est une conduite connue chez les islamistes avec comme but de contraindre un sujet individuel ou collectif à penser, agir ou se comporter d’une façon qu’il n’a pas choisie. En effet, les islamistes n’admettent aucune opposition à leurs croyances et abusent du redoutable raccourci anti-humaniste du raisonnement « takfir ». Le takfir consiste à dénier à son adversaire sa qualité de membre d’une collectivité légitime et à se croire autorisé de ce fait à le priver de tous les droits, protections et garanties inhérentes à cette appartenance. Ce procédé fasciste aboutit en fait à nier l’existence d’une appartenance humaniste universelle.
L’islamisme est une orientation politique qui se présente comme le nouvel ennemi de la liberté d’expression. De ce fait, les islamistes conçoivent l’Islam dans sa forme scripturale la plus orthodoxe et prônent l’application stricte de ses commandements. Ils partent tous les vendredis en guerre contre le monde. Juifs et chrétiens, communistes et démocrates, intellectuels et femmes émancipées, libéraux et agnostiques et toutes les formes d’expression libre sont les cibles favorites de leurs prêches hebdomadaires. La «fatwa» assassine contre la personne du penseur libéral tunisien Afif Lakhdar lancé en 2005 sur le site du Mouvement islamiste Ennahdha » le montre et le démontre.
Par ailleurs, les terrifiantes descriptions de l’Enfer, l’interprétation systématique des malheurs individuels et collectifs par le péché et la colère divine, la culpabilisation brutale de tout plaisir - y compris celui qu’une femme prend avec son mari - toutes ces significations imposées qu’on peut lire dans des ouvrages signés par les islamistes ont une redoutable efficacité sur l’imaginaire collectif des gens. Dans leur conception du monde où la vision religieuse est l’explication de toutes choses, tout écart au dogme, si minime soit-il, est baptisé hérésie.
Cela dit, on n’ pas vu les portes parole du Ministère des affaires étrangères français et celui du département d’Etat américain souligner les efforts déployés par un pays comme la Tunisie pour éradiquer le mal islamiste et pour porter encore plus loin les conquêtes de la modernité. On ne les a pas vus également condamner les menaces que font peser les islamistes via Internet sur les intellectuels tunisiens et notamment les femmes universitaires. Se placer sur le terrain de la vraie lutte pour les droits de l’homme, est aune attitude tout à fait louable. Se placer sur le terrain du jeu politicien et de la démagogie, est une attitude bien américaine et bien «kouchnièrienne» qui fait des droits de l’homme un vulgaire fonds de commerce.
lundi 28 juin 2010
La Tunisie n’a pas besoin de polémiques mondaines
Le mouvement historique n'est pas par soi porteur d'une alternative au dysfonctionnement de l'ordre libéral établi, mais d'idées et d'expériences diverses. Les mouvements sociaux de notre époque paraissent illustrer ce double fait : ils mettent des questions en débat, posent des exigences, font éventuellement surgir idées et pratiques nouvelles qui appellent réflexions et analyses, à la fois critiques et prospectives. Autrement dit, le mouvement historique n'est pas réductible au mouvement réel censé abolir l'état de chose existant, premièrement parce qu'il n'y a pas une seule façon de transformer le réel existant, deuxièmement parce qu'il n'est pas d'action humaine sans représentation, et d'action historique sans projet, même si les effets excèdent le projet. Là encore, le champ de travail est immense. On pourrait multiplier ce type d'exemples : tous concourent à souligner l'urgence et l'ampleur des problèmes auxquels les intellectuels peuvent apporter une contribution critique. Tâche difficile, mais plus enrichissante que les polémiques narcissiques mondaines. Cet effort est associé aux luttes pour la démocratie. Contre les visées réductrices, utilitaristes ou élitistes, les intellectuels ont la responsabilité de soutenir l'esprit critique, les valeurs de liberté et de justice : liberté de création et de recherche, pluralisme et confrontation, luttes contre l'affairisme, qui vont de pair avec la lutte pour faire reculer toutes les formes de marginalisation et d'exclusion nées des inégalités sociales.
jeudi 24 juin 2010
La Tunisie, une et indivisible
Amplement satisfaisante, en tous points répondant à nos besoins et chaque jour encore plus conquérante, depuis vingt-deux ans, notre démocratie n’a cessé de renforcer ses adhésions, d’étendre ses unanimités, d’explorer les nouveaux terrains de son enrichissement et de sa consolidation, et donc de réussir là où d’autres n’ont connu que réussites modestes ou retours en arrière.
Pour nous, notre démocratie est irréversible et elle progresse. Elle est sûre de ses choix, parce qu’elle les a mûrement réfléchis, parce qu’elle les a confectionnés de ses propres et de sa propre intelligence, et qu’elle les a soumis aux consultations les plus larges.
Au tout début de son parcours, l’on se souvient du 7 novembre 1987, il y avait la générosité du Salut qui épargna à notre pays la dérive totale, redonna à notre peuple confiance en lui-même et fierté, et remit l’ordre dans nos affaires. Les errements, les improvisations, les retards et l’arbitraire ont été écartés, pour faire place au Changement, aux réformes, à la modernisation, à l’ouverture, etc.
Les priorités, les lignes directrices claires et précises, les programmes riches, et les plans bien définis ont été tracés et mis à exécution. L’ordre a également été associé à la discipline qui, en accordant un respect total à nos droits, nous a appris à assumer nos devoirs. Notre nation a scellé le Pacte de ses retrouvailles, de son entente et de ses fermes résolutions.
Avec Ben Ali et le RCD, une fois le sauvetage de notre pays assuré, nous avons décidé de travailler, de persévérer, de viser l’excellence, de placer très haut la barre de nos ambitions et, en rangs serrés, nous sommes déterminés à relever les défis, tous les défis.
Notre démocratie, c’est tout cela à la fois et d’autres constantes humanistes et d’autres générosités en plus, d’autres détails subtils qui, ne laissant rien au hasard, ont pris les plus grands soins de garantir notre indivisibilité. C’est autour du partage équitable des fruits de notre émergence, de notre foi en nous-mêmes et autour de notre solidarité que s’est édifiée notre unanimité.
La majorité que le Changement a su mobiliser pour la réalisation de ses projets, grands et moins grands, a gagné tous les terrains et dissipé toutes les incertitudes.
L’Ere nouvelle s’est ainsi construite sur les bases saines de ce qui nous unit, de ce qui nous rassemble autour de l’obligatoire défense de l’indépendance, de la souveraineté et de l’invulnérabilité de la Tunisie.
Le reste ne serait donc plus qu’une affaire de différences minimes d’appréciation, un aspect mince qui sépare simplement nos sensibilités, mais qui n’affecte en rien la bonne marche des grandes œuvres de notre développement et nos ascensions. Car, sur l’essentiel et sur ses plus infimes détails, nous nous sommes accordés et continuerons d’accorder notre confiance entière au Changement.
La démocratie «généreuse» de Ben Ali a fait voler en éclats les clivages gauche/droite, conservatisme/progressisme, urbanité/ruralité, les régionalismes, les chauvinismes, les conflits opposant les générations et les genres. Elle a tissé les mailles serrées de notre concorde, balayé les confusions et nous a permis d’investir le plus clair de notre intelligence, de nos efforts et de nos énergies à rattraper les retards sur le peloton de tête des nations du monde, à construire nos plus beaux rêves, à prendre même de l’avance sur les autres, à bien nous prémunir contre les aléas et les fluctuations du contexte mondial, à nous préparer à jouer les premiers rôles sur la scène internationale et à tirer les meilleurs profits de la mondialisation.
C’est ce sens-là que nous accordons à nos élections: à chaque scrutin, sereinement et animé de la plus grande certitude, l’électeur sait pertinemment qu’il se prononce sur tous ces choix-là et que sa voix porte, directement et indirectement, sur ces grands dossiers.
Un bulletin de vote glissé dans l’urne dans une localité de quelques dizaines de milliers d’habitants, au nord, au sud, à l’est ou à l’ouest du territoire national, pèse de tous ses poids: il est un vote utile car il choisit librement le meilleur candidat qui, assisté d’une équipe municipale plurielle, devra répondre aux attentes de tous les électeurs de sa circonscription, porter la voix de leurs préoccupations et agir pour que sa ville aussi s’arrime à la locomotive du Changement.
Pour nous, notre démocratie est irréversible et elle progresse. Elle est sûre de ses choix, parce qu’elle les a mûrement réfléchis, parce qu’elle les a confectionnés de ses propres et de sa propre intelligence, et qu’elle les a soumis aux consultations les plus larges.
Au tout début de son parcours, l’on se souvient du 7 novembre 1987, il y avait la générosité du Salut qui épargna à notre pays la dérive totale, redonna à notre peuple confiance en lui-même et fierté, et remit l’ordre dans nos affaires. Les errements, les improvisations, les retards et l’arbitraire ont été écartés, pour faire place au Changement, aux réformes, à la modernisation, à l’ouverture, etc.
Les priorités, les lignes directrices claires et précises, les programmes riches, et les plans bien définis ont été tracés et mis à exécution. L’ordre a également été associé à la discipline qui, en accordant un respect total à nos droits, nous a appris à assumer nos devoirs. Notre nation a scellé le Pacte de ses retrouvailles, de son entente et de ses fermes résolutions.
Avec Ben Ali et le RCD, une fois le sauvetage de notre pays assuré, nous avons décidé de travailler, de persévérer, de viser l’excellence, de placer très haut la barre de nos ambitions et, en rangs serrés, nous sommes déterminés à relever les défis, tous les défis.
Notre démocratie, c’est tout cela à la fois et d’autres constantes humanistes et d’autres générosités en plus, d’autres détails subtils qui, ne laissant rien au hasard, ont pris les plus grands soins de garantir notre indivisibilité. C’est autour du partage équitable des fruits de notre émergence, de notre foi en nous-mêmes et autour de notre solidarité que s’est édifiée notre unanimité.
La majorité que le Changement a su mobiliser pour la réalisation de ses projets, grands et moins grands, a gagné tous les terrains et dissipé toutes les incertitudes.
L’Ere nouvelle s’est ainsi construite sur les bases saines de ce qui nous unit, de ce qui nous rassemble autour de l’obligatoire défense de l’indépendance, de la souveraineté et de l’invulnérabilité de la Tunisie.
Le reste ne serait donc plus qu’une affaire de différences minimes d’appréciation, un aspect mince qui sépare simplement nos sensibilités, mais qui n’affecte en rien la bonne marche des grandes œuvres de notre développement et nos ascensions. Car, sur l’essentiel et sur ses plus infimes détails, nous nous sommes accordés et continuerons d’accorder notre confiance entière au Changement.
La démocratie «généreuse» de Ben Ali a fait voler en éclats les clivages gauche/droite, conservatisme/progressisme, urbanité/ruralité, les régionalismes, les chauvinismes, les conflits opposant les générations et les genres. Elle a tissé les mailles serrées de notre concorde, balayé les confusions et nous a permis d’investir le plus clair de notre intelligence, de nos efforts et de nos énergies à rattraper les retards sur le peloton de tête des nations du monde, à construire nos plus beaux rêves, à prendre même de l’avance sur les autres, à bien nous prémunir contre les aléas et les fluctuations du contexte mondial, à nous préparer à jouer les premiers rôles sur la scène internationale et à tirer les meilleurs profits de la mondialisation.
C’est ce sens-là que nous accordons à nos élections: à chaque scrutin, sereinement et animé de la plus grande certitude, l’électeur sait pertinemment qu’il se prononce sur tous ces choix-là et que sa voix porte, directement et indirectement, sur ces grands dossiers.
Un bulletin de vote glissé dans l’urne dans une localité de quelques dizaines de milliers d’habitants, au nord, au sud, à l’est ou à l’ouest du territoire national, pèse de tous ses poids: il est un vote utile car il choisit librement le meilleur candidat qui, assisté d’une équipe municipale plurielle, devra répondre aux attentes de tous les électeurs de sa circonscription, porter la voix de leurs préoccupations et agir pour que sa ville aussi s’arrime à la locomotive du Changement.
lundi 14 juin 2010
Slim Bagga : De Ghannouchi à Maâroufi
Par Salem BADR
Ancien démarcheur de publicité pour le magazine tunisien “ Réalités ” (de 1984 à 1990, Slim Bagga a volontairement quitté son pays. Les raisons de ce départ – qui d’ailleurs n’était aucunement lié à la politique - demeurent jusqu’à ce jour une interrogation même pour ses proches. Au début, il a travaillé comme archiviste au siège du RCD (Rassemblement constitutionnel démocratique), parti au pouvoir en Tunisie, avant de passer à l’opposition dont il a abusé de sa “ générosité ” alors qu’il se proposait d’espionner dès son arrivée dans la capitale française. “ Il a été toujours louche, ce garçon ” s’accordent à dire quelques responsables des partis de l’opposition qui l’évitent malgré les efforts qu’il déploie pour les approcher proposant de les interviewer pour la publication pamphlétaire qu’il dirige à partir de Paris.
Après un parcours restreint, assez mouvementé dans ce domaine, il a fini par être adopté – après plusieurs tests où il a montré ses preuves- par un courant du mouvement islamiste Annahda, représentée par deux figures de proue sur la scène parisienne. Il s’agit de Habib Mokni et Reda Driss.
Pourtant cette adoption n’a été définitive qu’après l’aval de l’ancien patron de la sécurité de ce mouvement, Saïd Ferjani, résidant à Londres. Parmi les tests imposés à Slim Bagga : rencontrer publiquement des islamistes maghrébins, des pays du Moyen-Orient dont Abou Anass Al-Libi et l’Egyptien Yasser Al-Serri. Enfin pour boucler la boucle, accorder des interviews presque régulières au leader du mouvement Annahda Rached Ghannouchi ; et consacrer des pages entières à l’idéologue politique, Saleh Karkar.
Depuis, les islamistes tunisiens financent la publication “L’Audace” de Slim Bagga, qui par la suite, a réussi à s’introduire dans les milieux intégristes.
C’est lors de ses multiples navettes à Londres qu’il a connu Tarek Maâroufi dont il a pris fait et cause. Les dissidents de la Jama’a Islamia qui ont quitté l’Afghanistan il y a plus d’un an, affirment que Bagga roule pour le réseau tunisien d’Al Qaïda contre argent. Les partisans d’Annahda tentent de prouver le contraire, en montrant des photos de ce dernier en train de prier dans différentes mosquées de Paris et de Bruxelles.
Quoi qu’il en soit, Slim Bagga qui a mis sur pied une cellule de propagande formée de membres des d’ONG européennes, de journalistes indépendants, ne cesse de défendre la cause de Tarek Maâroufi, aujourd’hui derrière les barreaux en raison de son implication dans l’assassinat du commandant Messaoud, deux jours avant les attentats du 11 septembre.
Pour les enquêteurs belges, “Maâroufi est avec d’autres Islamistes tunisiens et libyens l’une des pièces maîtresses du réseau Oussama Ben Laden en Europe” ; et d’ajouter : c’est grâce à ce dernier, que les frères saoudiens Moutabakani – lieutenants de Ben Laden- ont pu échapper au piège qu’il leur avait été tendu à Anvers en juin 2001 et qu’ils ont fini par atteindre la Somalie.
Le divorce annoncé
Les aveux de Tarek Maaroufi du 29 novembre 2001, notamment après le compte rendu des écoutes téléphoniques, présenté par la police anti-terroriste italienne le compromettant dans l’assassinat du commandant Massaoud, Slim Bagga a commencé à prendre peu à peu ses distances envers ceux qu’ils appelait dans ses papiers “ mes amis ” ; c’est-à-dire Tarek Maâroufi et Walid Bennani, tous deux accusés et relaxés en janvier 2001 par la justice belge de l’assassinat du ministre socialiste André Cools.
De sources arabes spécialisées dans ce domaine de l’anti-terrorisme, on apprend que Slim Bagga – disant avoir infiltré la mouvance tunisienne d’Al Qaïda- a proposé d’aider les services d’un des pays du Golfe. Les contacts ont été pris par l’intermédiaire d’un ancien haut responsable maghrébin qui, à maintes reprises, a reporté son retour dans son pays à la dernière minute. Affirmation d’autant plus invérifiable que Slim Bagga est connu pour ses divagations et le brouillage des pistes chaque fois qu’il se sentait sur le point d’être lâché par ses alliés de circonstance.
À l’heure actuelle, le “journaliste, le militant” des droits de l’homme, l’ami des “terroristes” déplume certains tunisiens en exil, rackette astucieusement à la fois ses “garants” du mouvement Annahda en tendant la main à un homme d’affaires de l’extrême gauche tunisien.
En tout état de cause il faut signaler que le réseau de Ben Laden en Europe est le plus puissant logistiquement et aussi le plus dangereux.
Car il a ses ramifications notamment dans les milieux qui ne sont guère soupçonnés par les cellules anti-terroristes européennes tels : les ONG, les députés européens, le plus souvent infiltrés par des universitaires et aussi les petites structures liées à des Associations régionales des droits de l’homme, basées au Pays-bas, en Allemagne ou en Suède.
A cela s’ajoute une panoplie de journalistes indépendants comme par exemple, Slim Bagga qui a un jour dédié un des numéros de sa publication à Maâroufi, n’hésitant pas à se laisser prendre en photo avec lui.
Ancien démarcheur de publicité pour le magazine tunisien “ Réalités ” (de 1984 à 1990, Slim Bagga a volontairement quitté son pays. Les raisons de ce départ – qui d’ailleurs n’était aucunement lié à la politique - demeurent jusqu’à ce jour une interrogation même pour ses proches. Au début, il a travaillé comme archiviste au siège du RCD (Rassemblement constitutionnel démocratique), parti au pouvoir en Tunisie, avant de passer à l’opposition dont il a abusé de sa “ générosité ” alors qu’il se proposait d’espionner dès son arrivée dans la capitale française. “ Il a été toujours louche, ce garçon ” s’accordent à dire quelques responsables des partis de l’opposition qui l’évitent malgré les efforts qu’il déploie pour les approcher proposant de les interviewer pour la publication pamphlétaire qu’il dirige à partir de Paris.
Après un parcours restreint, assez mouvementé dans ce domaine, il a fini par être adopté – après plusieurs tests où il a montré ses preuves- par un courant du mouvement islamiste Annahda, représentée par deux figures de proue sur la scène parisienne. Il s’agit de Habib Mokni et Reda Driss.
Pourtant cette adoption n’a été définitive qu’après l’aval de l’ancien patron de la sécurité de ce mouvement, Saïd Ferjani, résidant à Londres. Parmi les tests imposés à Slim Bagga : rencontrer publiquement des islamistes maghrébins, des pays du Moyen-Orient dont Abou Anass Al-Libi et l’Egyptien Yasser Al-Serri. Enfin pour boucler la boucle, accorder des interviews presque régulières au leader du mouvement Annahda Rached Ghannouchi ; et consacrer des pages entières à l’idéologue politique, Saleh Karkar.
Depuis, les islamistes tunisiens financent la publication “L’Audace” de Slim Bagga, qui par la suite, a réussi à s’introduire dans les milieux intégristes.
C’est lors de ses multiples navettes à Londres qu’il a connu Tarek Maâroufi dont il a pris fait et cause. Les dissidents de la Jama’a Islamia qui ont quitté l’Afghanistan il y a plus d’un an, affirment que Bagga roule pour le réseau tunisien d’Al Qaïda contre argent. Les partisans d’Annahda tentent de prouver le contraire, en montrant des photos de ce dernier en train de prier dans différentes mosquées de Paris et de Bruxelles.
Quoi qu’il en soit, Slim Bagga qui a mis sur pied une cellule de propagande formée de membres des d’ONG européennes, de journalistes indépendants, ne cesse de défendre la cause de Tarek Maâroufi, aujourd’hui derrière les barreaux en raison de son implication dans l’assassinat du commandant Messaoud, deux jours avant les attentats du 11 septembre.
Pour les enquêteurs belges, “Maâroufi est avec d’autres Islamistes tunisiens et libyens l’une des pièces maîtresses du réseau Oussama Ben Laden en Europe” ; et d’ajouter : c’est grâce à ce dernier, que les frères saoudiens Moutabakani – lieutenants de Ben Laden- ont pu échapper au piège qu’il leur avait été tendu à Anvers en juin 2001 et qu’ils ont fini par atteindre la Somalie.
Le divorce annoncé
Les aveux de Tarek Maaroufi du 29 novembre 2001, notamment après le compte rendu des écoutes téléphoniques, présenté par la police anti-terroriste italienne le compromettant dans l’assassinat du commandant Massaoud, Slim Bagga a commencé à prendre peu à peu ses distances envers ceux qu’ils appelait dans ses papiers “ mes amis ” ; c’est-à-dire Tarek Maâroufi et Walid Bennani, tous deux accusés et relaxés en janvier 2001 par la justice belge de l’assassinat du ministre socialiste André Cools.
De sources arabes spécialisées dans ce domaine de l’anti-terrorisme, on apprend que Slim Bagga – disant avoir infiltré la mouvance tunisienne d’Al Qaïda- a proposé d’aider les services d’un des pays du Golfe. Les contacts ont été pris par l’intermédiaire d’un ancien haut responsable maghrébin qui, à maintes reprises, a reporté son retour dans son pays à la dernière minute. Affirmation d’autant plus invérifiable que Slim Bagga est connu pour ses divagations et le brouillage des pistes chaque fois qu’il se sentait sur le point d’être lâché par ses alliés de circonstance.
À l’heure actuelle, le “journaliste, le militant” des droits de l’homme, l’ami des “terroristes” déplume certains tunisiens en exil, rackette astucieusement à la fois ses “garants” du mouvement Annahda en tendant la main à un homme d’affaires de l’extrême gauche tunisien.
En tout état de cause il faut signaler que le réseau de Ben Laden en Europe est le plus puissant logistiquement et aussi le plus dangereux.
Car il a ses ramifications notamment dans les milieux qui ne sont guère soupçonnés par les cellules anti-terroristes européennes tels : les ONG, les députés européens, le plus souvent infiltrés par des universitaires et aussi les petites structures liées à des Associations régionales des droits de l’homme, basées au Pays-bas, en Allemagne ou en Suède.
A cela s’ajoute une panoplie de journalistes indépendants comme par exemple, Slim Bagga qui a un jour dédié un des numéros de sa publication à Maâroufi, n’hésitant pas à se laisser prendre en photo avec lui.
Slim Bagga et Fawzi Mahbouli…Deux criminels avérés
Dans des témoignages publiés par Sahbi Amri et dans des articles publiés par la Gazette du Maroc, par des journaux électroniques algériens et suisses , j’étais encore une fois surpris par la face cachée de Slim Bagga présenté par tous les auteurs et à juste titre d’ailleurs comme un homme pervers, schizophrène, qui a travaillé avec la Nahda et contre la Nahda, avec la Tunisie et contre la Tunisie, avec ses amis et contre ses amis…Les articles en questions, parlent d’un énergumène sans scrupule, opportuniste et surtout financièrement insatiable. Sahbi Amri figure en tête de liste de ceux qui ont été trahi par Slim Bagga. Il croyait peut-être qu’il disait vrai. Mais sa déception fut grande quand il a réalisé à ses dépend que slim Bagga n’était en fait qu’un manipulateur, un usurpateur d’identité, un agent de renseignement qui travaille actuellement pour le compte de Kouchner ce faux ministre impliqué dans le génocide du Rwanda ainsi que pour le compte du Mossad qui l’engraisse largement. C’est pourquoi d’ailleurs Slim Bagga a complètement disparu du Net durant toutes les péripéties qui ont entouré le Raid israélien sur la flottille de la liberté à Gaza. Dans un article antérieur, la Gazette du Maroc a déjà publié un scoop sur l’implication de Slim Bagga dans l’assassinat de Massoud qui représentait l’espoir d’un Afghanistan libre, moderne et prospère. Cet article a révélé l’étroite collaboration de Slim Bagga avec le chef de la défunte Nahdha de Rached Ghannouchi installé aujourd’hui à Londres ou il profite de l’argent de la Zaket selon les révélations de Sahbi Amri qui le connaît si bien. La reprise de cet article par des facebookiens leur a été fatale. Slim Bagga a ordonné à sa milice de faire disparaître leur profil du net. C’est la démocratie, version Bagga. Pas de vérité, pas de dialogue, pas de parole…que de l’intox, que des obscénités...Autres révélation de Sahbi Amri : L’arrestation et l’emprisonnement en Belgique de Tarak Maaroufi, un commerçant tunisien résidant à Bruxelles, impliqué dans l’affaire de l’assassinat de Massoud a été « soigneusement » orchestrée par Slim Bagga pour se dérober d’un dû qui s’élève à 360000 FF, une somme versée par Maaroufi à Slim Bagga pour l’aider à s’installer en France. Sahbi Amri évoque dans ses témoignages un certain Faouzi Mahbouli. Ce fraichement débarqué sur la scène médiatique virtuelle, n’est que l’ombre de Slim Bagga qui est en fait son recruteur selon les affirmations de Sahbi Amri. Slim Bagga a encore une fois profité de l’immaturité notamment politique de ce Faouzi Mahbouli pour l’entrainer dans sa valse diabolique. Faouzi Mahbouli a subi une formation intensive pendant les séances nocturne de beuverie Baggienne, dans les domaines de la manipulation et de l’intox avant de se lancer sur facebook sous les ordres de son minable « maître chanteur ». Cette alliance qui repose sur l’opportunisme mutuel ne durera pas longtemps comme toutes les alliances de ce genre.
Ces articles qui existent sur le net viennent corroborer toutes les vérités sur l’implication de ces individus dans des nébuleuses dont l’odeur est nauséabonde. Cependant, une question mérite d’être posée. Que représente la Tunisie pour cette nébuleuse? Un prétexte, une matière première, un paravent pour gagner encore et encore de l’argent. Vendre son pays aux autres, entacher l’image de son pays et de tenter même vainement à lui emboiter le pas du développement et du progrès en diffusant de l’intox et en usant de la manipulation est l’œuvre de criminels avérés.
Voici la confirmation du niveau ordurier de Slim Bagga dans une discussion à sens unique: C'est un Chalaco
Par sahbi Amri
Il n'a que la grande gueule d'un voyou déguisé en faux-jour....n'a.....liste. Slim Bagga refuse de rendre public son droit de réponse aux allégations formelles que j'ai porté à son encontre pour dévoiler le masque d'un clochard transformé en démarcheur de misères des autres pour satisfaire sa soif chronique à la "Dabbouza".Il se dit opposant au régime politique en Tunisie. Mais, au fond, il ne s'agit que d'un opportuniste de très bas niveau. C'est un lèche-gamelle. Encore sous le choc de ma publication du 4.10.2009 " Ma part de vérité" au facebook, il tente vainement de m'intimider par un langage ordurier dont il a l'habitude d'utiliser. L'accusant de mouchard, d'escroc, de magouilleur qui se cache derrière des cercles policiers de renseignements généraux, je ne trouve aucun qualificatif supplémentaire pour présenter un type qui a raté sa vocation en Tunisie et sa vie d'émigré en SDF. S'il se trouve actuellement sous la tutelle de Mohamed El Boussairi Bouebdelli en pension complète et sous la protection d'un secteur de la DGSE en France.. Souffrant d'une mégalomanie d'un éthylodépendant désespéré, son marasme intellectuel est traduit dans la discussion suivante dont je détiens une copie pour toute fin utile.
PS. Par respect à mes amis j’ai supprimé ce passage dont le contenu chargé d’obscénités peut choquer les jeunes internautes.
samedi 12 juin 2010
Lettre ouverte de Sahbi Amri à Slim Bagga
Surpris par l’acharnement ignoble de « Slim Bagga » à une discussion au facebook, la coupure instantanée du réseau internet ne m’a offert l’opportunité de le placer à sa juste valeur et de lui mettre les choses au clair. De ce fait, j’ai tenu à lui rendre publique cette lettre ouverte afin que les Tunisiens puissent découvrir la face cachée d’un personnage ambigu devenu accidentellement médiatique dans le domaine de la puanteur intellectuelle. Au fait, ce n’est qu’un spéculateur qui use de ses capacités de culture de trottoir pour tirer profit de la misère des autres. Ce n’est pas étonnant de la part de quelqu’un qui na jamais su se respecter pour être un perdu dans la vie.
Ma part de vérité
Si tu te crois une référence de l’honnêteté et de la dignité eh bien, détrompe-toi. Mais pour ce qui est amitié, tu n'as jamais été mon ami. Tu as couru à notre première rencontre à Paris en 2002 pour que je t’accorde une déclaration de presse à ton ex-journal « l’Audace ».
Tu n'es qu'un marchand de «zebla» et tu y resteras.
Tu n’as aucune morale de militantisme pour la prospérité de la Tunisie. Le Dinar ne t’enchante plus. C’est l’Euro qui te fait perdre les pédales sur les colonnes des mercenaires.
Rappelle-toi qui était au bout du fil en Mars 2006 quand on était assis ensemble au Café à la Gare du Nord à Paris.
Tu te donnes de l’importance virtuelle en ayant l’ultime conviction que tu ne vaux absolument rien en réalité. Tu es un type raté. Tu as raté ta vocation en Tunisie et tu as raté ta vie à l’étranger. Tu me fais pitié. Tu as choisi le chemin de la délinquance par désespoir de toute issue de sauvetage.
Pourquoi tu as omis d’étaler ton parcours de commis du RCD à Paris avant de faire fonction de faux-opposant ? Pourquoi tu as toujours fait passer l’éponge sur tes relations suspectes de « sabbeb » à la Direction de la Sécurité de l’Etat « DGSE » en France ?
Tu as fait passer injustement le commerçant Tunisien en Belgique « Tarek Mâaroufi » derrière les barreaux à Bruxelles pour plus d’une décennie pour échapper au remboursement de ses 32000 Euros qu’il t’a passés pour te soutenir financièrement. Tu l’as accusé injustement de terrorisme et de collecte d’argent pour « Al-Qaida ». Tu n’as aucun sens humain. Tu es ingrat. Tu es une poubelle. Tu ne peux fréquenter que ton genre qui devient de plus en plus méfiant de toi. Tu ne représentes que l’immoralité en toutes ses formes puisque tu es devenu un spécialiste des coups bas et même trop bas.
Tu creuseras ta tombe le jour de la libération de « Tarek Mâaroufi ».
Tu te souviendras bien de ce que je viens de t’annoncer en public.
Et, tu pourras aller remettre des rapports malveillants, à tes maitres de la « DGSE » en France me qualifiant de terroriste et de danger à la sécurité internationale comme l’ont déjà fait tes similaires locaux de la société civile à l’ex-ambassadeur des USA en Tunisie pour me compliquer l’obtention d’un visa de voyage. C’est mesquin.
Par ailleurs, tu as toujours escroqué les abonnés annuels de ton journal « l’Audace » qui, après t’avoir payé intégralement ne reçoivent jamais le moindre numéro du dit-journal.
Tu n’escroquais que ton entourage amical qui t’a vomi actuellement pour rester en solitaire.
L’alcool ne t’a rien laissé. Ni argent. Ni Santé. Ni honneur.
Dommage, tu es cuit. Ou plutôt, tu t’es fait cuire par ignorance et par naïveté.
Tu as cru et tu crois toujours à la descendance des anciens colons de la Tunisie pour qu’ils te sauvent de la merde dont tu t’es fait noyer.
Tu t’es comporté en Super-man de carton en Mars 2006 quand j’étais venu à Paris avec l’émissaire « Mohamed Ferjaoui » dit « Hamadi ».
Tu as demandé un appartement luxueux à Saint Michel au cœur de Paris, une bourse pour les études de ta fille, un salaire fixe pour ton épouse de 4000 Euros par mois et un autre salaire pour toi de 7000 Euros par mois avec un supplément de pourcentage sur les ventes de « l’audace » pour céder d’abord le poste de rédacteur en chef à un journaliste Français connu. La gestion du journal était prévue pour « Hamadi » and Co.
En contre partie, le journal « l’Audace » serait vendu dans les institutions publiques en Tunisie et en ambulatoire dans tout le pays sans aucune mention diffamatoire.
Tu étais vraiment d’accord et enthousiasmé par ce compromis qui était la chance de ta vie. En l’occurrence, tu n’as jamais hésité à tendre la main à « Hamadi » pour qu’il te remette à chaque rencontre de chaque jour entre 200 et 500 Euros après qu’il te paye le diner quotidien bien alcoolisé……Tu rentrais chez-toi ivre-mort.
Mais, ce dont tu n’es pas au courant : Ton offre était tellement alléchante où toutes les parties intervenantes se sont disputées les actions et les parts de bénéfices attendus…
« Hamadi » n’a pu réussir l’orchestration de la réussite de ce projet.
Donc, c’est dans l’eau !
Dommage pour « Bagga » la puce dont la valeur réelle ne dépasse les quelques centimes. Mais, il rêve de l’octroi de centaines de milliers d’Euros d’une façon gratis.
Rappelle-toi combien de fois tu as adressé « Hamadi » à ton domicile parental à la Rue de Marseille à Tunis pour qu’il passe un peu d’argent à ton père que tu as abandonné à l’inertie.
Est-ce que tu l’as remboursé ?
« Hamadi » n’a jamais été une association charitaire.
Mais comme le délai de la concrétisation du compromis a tant duré pour annoncer son avortement à notre retour de Paris, tu as couru à ton journal « l’Audace » pour publier un démenti et une critique de la visite de « Hamadi » à Paris.
Et, c’est ton maitre qui t’a fourni les fins fonds des secrets personnels de cet « émissaire » pour couper la route au retour des exilés.
Ne me dis surtout pas que tu es un superman des renseignements généraux.
Bon ! Bref !
En langage direct à « Slim Bagga » : Si tu crois que j'ai des comptes à te rendre en ce qui concerne mes activités personnelles, eh bien là, encore une fois de plus, détrompe-toi. Pour hausser le ton et faire le «Gâabout» du stylo, eh bien là aussi, rappelle-toi que tu n’as aucun diplôme universitaire ni de journaliste ni de faisant fonction de journaliste et à priori, tu as peut-être un certificat de rue ou d’impasse et pas autre chose.
Tu n’es qu’un pauvre monsieur « Dabbouza ». Moi, j'ai payé une facture de malheurs, d’argent et de santé lorsque tu grignotais les miettes de Rached Ghanouchi and Co. entre Londres et Paris. Et si tu parles de dégâts que j’ai causé à l’opposition, eh bien, change tes lunettes et rince-toi la cervelle pour mieux voir et comprendre. Je suis libre de mes agissements et je n’ai pas à me justifier auprès de quiconque. Je me suis retiré tout seul en singulier. Je n’ai pas drainé d’autres personnes sur mon chemin. Mais, je sais que j’ai laissé une grande faille irremplaçable. Je n’ai lésé personne, mais, je ne me laisse pas faire. J’ai cru que cette opposition et cette société civile que je fréquentais et je soutenais, étaient faites d’hommes intègres, crédibles et transparents. Mais, au fait ce n’était que du mensonge et de la blague. Ces gens-là ont besoin de domestiques et pas d’opposants activistes d’un certain niveau intellectuel, de lucidité et de courage. Ces spéculateurs ont besoin de marchandises solubles sur les tribunes qui rapportent des Euros. Moi, je ne fais pas partie de cette variété.
Tu ne fais rien d'intéressant sauf d'être un clown enragé au milieu d'une foule qui te soutient financièrement. Et si tu me parles de dégâts que j'ai causés à la société civile, eh bien tu te trompes encore d'adresse. Contrairement à toi, moi, je n'ai jamais remis le mot de passe de mon adresse e-mail à une antenne sécuritaire ni à l’étranger ni en Tunisie pour piéger mes correspondants et mes amis. Si tu joues au malin avec moi, je te conseille de ne pas jouer au saint, Enness Tâaref Enness et en plus Waktech Nwalliou Chorfa…je te laisse le soin de continuer ce proverbe Tunisien bien signifiant pour ton misérable cas.
Dr. Sahbi Amri
Ma part de vérité
Si tu te crois une référence de l’honnêteté et de la dignité eh bien, détrompe-toi. Mais pour ce qui est amitié, tu n'as jamais été mon ami. Tu as couru à notre première rencontre à Paris en 2002 pour que je t’accorde une déclaration de presse à ton ex-journal « l’Audace ».
Tu n'es qu'un marchand de «zebla» et tu y resteras.
Tu n’as aucune morale de militantisme pour la prospérité de la Tunisie. Le Dinar ne t’enchante plus. C’est l’Euro qui te fait perdre les pédales sur les colonnes des mercenaires.
Rappelle-toi qui était au bout du fil en Mars 2006 quand on était assis ensemble au Café à la Gare du Nord à Paris.
Tu te donnes de l’importance virtuelle en ayant l’ultime conviction que tu ne vaux absolument rien en réalité. Tu es un type raté. Tu as raté ta vocation en Tunisie et tu as raté ta vie à l’étranger. Tu me fais pitié. Tu as choisi le chemin de la délinquance par désespoir de toute issue de sauvetage.
Pourquoi tu as omis d’étaler ton parcours de commis du RCD à Paris avant de faire fonction de faux-opposant ? Pourquoi tu as toujours fait passer l’éponge sur tes relations suspectes de « sabbeb » à la Direction de la Sécurité de l’Etat « DGSE » en France ?
Tu as fait passer injustement le commerçant Tunisien en Belgique « Tarek Mâaroufi » derrière les barreaux à Bruxelles pour plus d’une décennie pour échapper au remboursement de ses 32000 Euros qu’il t’a passés pour te soutenir financièrement. Tu l’as accusé injustement de terrorisme et de collecte d’argent pour « Al-Qaida ». Tu n’as aucun sens humain. Tu es ingrat. Tu es une poubelle. Tu ne peux fréquenter que ton genre qui devient de plus en plus méfiant de toi. Tu ne représentes que l’immoralité en toutes ses formes puisque tu es devenu un spécialiste des coups bas et même trop bas.
Tu creuseras ta tombe le jour de la libération de « Tarek Mâaroufi ».
Tu te souviendras bien de ce que je viens de t’annoncer en public.
Et, tu pourras aller remettre des rapports malveillants, à tes maitres de la « DGSE » en France me qualifiant de terroriste et de danger à la sécurité internationale comme l’ont déjà fait tes similaires locaux de la société civile à l’ex-ambassadeur des USA en Tunisie pour me compliquer l’obtention d’un visa de voyage. C’est mesquin.
Par ailleurs, tu as toujours escroqué les abonnés annuels de ton journal « l’Audace » qui, après t’avoir payé intégralement ne reçoivent jamais le moindre numéro du dit-journal.
Tu n’escroquais que ton entourage amical qui t’a vomi actuellement pour rester en solitaire.
L’alcool ne t’a rien laissé. Ni argent. Ni Santé. Ni honneur.
Dommage, tu es cuit. Ou plutôt, tu t’es fait cuire par ignorance et par naïveté.
Tu as cru et tu crois toujours à la descendance des anciens colons de la Tunisie pour qu’ils te sauvent de la merde dont tu t’es fait noyer.
Tu t’es comporté en Super-man de carton en Mars 2006 quand j’étais venu à Paris avec l’émissaire « Mohamed Ferjaoui » dit « Hamadi ».
Tu as demandé un appartement luxueux à Saint Michel au cœur de Paris, une bourse pour les études de ta fille, un salaire fixe pour ton épouse de 4000 Euros par mois et un autre salaire pour toi de 7000 Euros par mois avec un supplément de pourcentage sur les ventes de « l’audace » pour céder d’abord le poste de rédacteur en chef à un journaliste Français connu. La gestion du journal était prévue pour « Hamadi » and Co.
En contre partie, le journal « l’Audace » serait vendu dans les institutions publiques en Tunisie et en ambulatoire dans tout le pays sans aucune mention diffamatoire.
Tu étais vraiment d’accord et enthousiasmé par ce compromis qui était la chance de ta vie. En l’occurrence, tu n’as jamais hésité à tendre la main à « Hamadi » pour qu’il te remette à chaque rencontre de chaque jour entre 200 et 500 Euros après qu’il te paye le diner quotidien bien alcoolisé……Tu rentrais chez-toi ivre-mort.
Mais, ce dont tu n’es pas au courant : Ton offre était tellement alléchante où toutes les parties intervenantes se sont disputées les actions et les parts de bénéfices attendus…
« Hamadi » n’a pu réussir l’orchestration de la réussite de ce projet.
Donc, c’est dans l’eau !
Dommage pour « Bagga » la puce dont la valeur réelle ne dépasse les quelques centimes. Mais, il rêve de l’octroi de centaines de milliers d’Euros d’une façon gratis.
Rappelle-toi combien de fois tu as adressé « Hamadi » à ton domicile parental à la Rue de Marseille à Tunis pour qu’il passe un peu d’argent à ton père que tu as abandonné à l’inertie.
Est-ce que tu l’as remboursé ?
« Hamadi » n’a jamais été une association charitaire.
Mais comme le délai de la concrétisation du compromis a tant duré pour annoncer son avortement à notre retour de Paris, tu as couru à ton journal « l’Audace » pour publier un démenti et une critique de la visite de « Hamadi » à Paris.
Et, c’est ton maitre qui t’a fourni les fins fonds des secrets personnels de cet « émissaire » pour couper la route au retour des exilés.
Ne me dis surtout pas que tu es un superman des renseignements généraux.
Bon ! Bref !
En langage direct à « Slim Bagga » : Si tu crois que j'ai des comptes à te rendre en ce qui concerne mes activités personnelles, eh bien là, encore une fois de plus, détrompe-toi. Pour hausser le ton et faire le «Gâabout» du stylo, eh bien là aussi, rappelle-toi que tu n’as aucun diplôme universitaire ni de journaliste ni de faisant fonction de journaliste et à priori, tu as peut-être un certificat de rue ou d’impasse et pas autre chose.
Tu n’es qu’un pauvre monsieur « Dabbouza ». Moi, j'ai payé une facture de malheurs, d’argent et de santé lorsque tu grignotais les miettes de Rached Ghanouchi and Co. entre Londres et Paris. Et si tu parles de dégâts que j’ai causé à l’opposition, eh bien, change tes lunettes et rince-toi la cervelle pour mieux voir et comprendre. Je suis libre de mes agissements et je n’ai pas à me justifier auprès de quiconque. Je me suis retiré tout seul en singulier. Je n’ai pas drainé d’autres personnes sur mon chemin. Mais, je sais que j’ai laissé une grande faille irremplaçable. Je n’ai lésé personne, mais, je ne me laisse pas faire. J’ai cru que cette opposition et cette société civile que je fréquentais et je soutenais, étaient faites d’hommes intègres, crédibles et transparents. Mais, au fait ce n’était que du mensonge et de la blague. Ces gens-là ont besoin de domestiques et pas d’opposants activistes d’un certain niveau intellectuel, de lucidité et de courage. Ces spéculateurs ont besoin de marchandises solubles sur les tribunes qui rapportent des Euros. Moi, je ne fais pas partie de cette variété.
Tu ne fais rien d'intéressant sauf d'être un clown enragé au milieu d'une foule qui te soutient financièrement. Et si tu me parles de dégâts que j'ai causés à la société civile, eh bien tu te trompes encore d'adresse. Contrairement à toi, moi, je n'ai jamais remis le mot de passe de mon adresse e-mail à une antenne sécuritaire ni à l’étranger ni en Tunisie pour piéger mes correspondants et mes amis. Si tu joues au malin avec moi, je te conseille de ne pas jouer au saint, Enness Tâaref Enness et en plus Waktech Nwalliou Chorfa…je te laisse le soin de continuer ce proverbe Tunisien bien signifiant pour ton misérable cas.
Dr. Sahbi Amri
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